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5650385 African Journal of Emergency Medicine 2017 7 Pages PDF
Abstract

IntroductionPre-hospital rapid sequence intubation was introduced within paramedic scope of practice in South Africa seven years ago. Since then, little data has been published on this high-risk intervention as practiced operationally or by students learning rapid sequence intubation in the pre-hospital environment. The objective of this study was to describe a series of pre-hospital rapid sequence intubation cases, including those that South African University paramedic students had participated in.MethodsA University clinical learning database was searched for all endotracheal intubation cases involving the use of neuromuscular blockers between 1 January 2011 and 31 December 2015. Data from selected cases were extracted and analysed descriptively.ResultsData indicated that most patients were young adult trauma victims with a dominant injury mechanism of vehicle-related accidents. The majority of cases utilised ketamine and suxamethonium, with a low rate of additional paralytic medication administration. 63% and 72% of patients received post-intubation sedation and analgesia, respectively. The overall intubation success rate from complete records was 99.6%, with a first pass success rate of 87.9%. Students were successful in 92.4% of attempts with a first-pass success rate of 85.2%. Five percent of patients experienced cardiac arrest between rapid sequence intubation and hospital arrival.DiscussionStudents demonstrated a good intubation success and first pass-success rate. However, newly qualified paramedics require strict protocols, clinical governance, and support to gain experience and perform pre-hospital rapid sequence intubation at an acceptable level in operational practice. More research is needed to understand the low rate of post-intubation paralysis, along with non-uniform administration of post-intubation sedation and analgesia, and the 5% prevalence of cardiac arrest.

IntroductionL'intubation en séquence rapide (ISR) pré-hospitalière a été introduite dans le champ d'activité des auxiliaires médicaux en Afrique du Sud il y a sept ans. Depuis, peu de données ont été publiées sur cette intervention à haut risque telle qu'elle est pratiquée de manière opérationnelle ou par des étudiants apprenant l'ISR dans l'environnement pré-hospitalier. L'objectif de cette étude était de décrire une série de cas d'intubation en séquence rapide pré-hospitalière, y compris des cas auquels des étudiants ambulanciers des universités sud-africaines avaient participé.MethodesUne base de données universitaire sur l'apprentissage clinique a été consultée afin d'identifier tous les cas d'intubation endotrachéale impliquant le recours à des inhibiteurs neuromusculaires entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2015. Les données de cas sélectionnés ont été extraites et analysées de manière descriptive.RésultatsLes données indiquaient que la plupart des patients étaient de jeunes adultes victimes de traumatismes, le mécanisme de blessure dominant étant les accidents de la route. La majorité des cas utilisaient la kétamine et le suxaméthonium, et un faible taux d'administration de substances paralysantes. 63% et 72% des patients ont respectivement reçu une sédation post-intubation et des analgésiques. Le taux de réussite global de l'intubation à partir des archives complètes s'élevait à 99,6%, avec un taux de réussite au premier passage de 87,9%. Les étudiants réussissaient dans 92,4% de leurs tentatives, avec un taux de réussite au premier passage de 85,2%. Cinq pour cent des patients ont été victimes d'un arrêt cardiaque entre l'intubation à séquence rapide et leur arrivée à l'hôpital.DiscussionLes étudiants ont obtenu un bon taux de réussite à l'intubation et un bon taux de réussite au premier passage. Cependant, les auxiliaires médicaux jeunes diplômés ont besoin de protocoles strictes, d'une gestion clinique et de soutien pour acquérir de l'expérience et réaliser des intubations à séquence rapide pré-hospitalières à un niveau acceptable dans la pratique opérationnelle. Des études supplémentaires sont nécessaires pour comprendre le faible taux de paralysie post-intubation, parallèlement à l'administration non uniforme de la sédation et des analgésiques post-intubation, ainsi que la prévalence d'arrêt cardiaque de 5%.

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