Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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5879066 | Canadian Journal of Cardiology | 2013 | 7 Pages |
BackgroundSurveillance for stroke/transient ischemic attack (TIA) using administrative data has traditionally been limited to reporting patients who had an acute event and were hospitalized. This underestimates the true prevalence because many events do not result in hospitalization. We examined whether the accuracy of administrative data for identifying prevalent stroke/TIA could be improved by using data from both inpatient and outpatient visits.MethodsAn administrative data validation reference standard was developed through chart abstraction of 5000 adult patients randomly sampled from 73,014 patients of 83 family physicians who participate in the Electronic Medical Record Administrative Data Linked Database (EMRALD), in Ontario, Canada.ResultsThe prevalence of stroke/TIA in our adult population was 3.0%. An algorithm of 1 hospital record had a sensitivity of 35.3% (27.7%-43.0%) and specificity of 99.8% (99.7%-99.9%), whereas an algorithm of 2 physician billings within 1 year or 1 hospitalization had a sensitivity of 68.0% (95% confidence interval [CI], 60.5%-75.5%) and specificity of 98.9% (95% CI, 98.6%-99.2%) for the identification of patients who had ever had a stroke/TIA. We found that hospitalization data underestimated the prevalence of stroke by > 50% and TIA by > 66% compared with using both hospitalization and physician claims data.ConclusionsThe use of outpatient physician claims data in addition to hospitalization data improves the sensitivity of administrative data for the identification of prevalent stroke/TIA and may be used to estimate the prevalence of cerebrovascular events in large populations and over time.
RésuméIntroductionLa surveillance de l'accident vasculaire cérébral (AVC) et de l'ischémie cérébrale transitoire (ICT) à l'aide des données administratives a traditionnellement été limitée à la déclaration des patients qui étaient hospitalisés à la suite d'un événement aigu. Cela sous-estime la prévalence réelle puisque plusieurs événements n'entraînent pas l'hospitalisation. Nous avons examiné si l'exactitude des données administratives pour déterminer la prévalence de l'AVC et de l'ICT pourrait être améliorée en utilisant les données des hospitalisations et les données des consultations externes.MéthodesUn étalon de référence de la validation des données administratives a été développé au moyen des résumés de dossiers de 5000 patients adultes sélectionnés au hasard à partir de 73 014 patients de 83 médecins de famille qui participent à la base de données EMRALD (Electronic Medical Record Administrative Data Linked Database), en Ontario, au Canada.RésultatsLa prévalence de l'AVC et de l'ICT de notre population adulte était de 3,0 %. Un algorithme de 1 dossier d'hôpital avait une sensibilité de 35,3 % (27,7 %-43,0 %) et une spécificité de 99,8 % (99,7 %-99,9 %), tandis qu'un algorithme des honoraires facturés par 2 médecins en 1 an ou de 1 hospitalisation avait une sensibilité de 68,0 % (intervalle de confiance [IC] à 95 %, 60,5 %-75,5 %) et une spécificité de 98,9 % (IC à 95 %, 98,6 %-99,2 %) pour déterminer les patients qui avaient déjà eu un AVC ou un ICT. Nous avons observé que les données d'hospitalisation sous-estimaient la prévalence de l'AVC de > 50 % et l'ICT de > 66 % comparativement à l'utilisation des données des hospitalisations et des données des réclamations des médecins.ConclusionsL'utilisation des données des déclarations des médecins en consultation externe ainsi que des données des hospitalisations améliore la sensibilité des données administratives pour déterminer la prévalence de l'AVC et de l'ICT et nous pouvons y avoir recours pour estimer la prévalence des événements cérébrovasculaires au sein de vastes populations et au fil du temps.