Detection of all Chlamydophila and Chlamydia spp. of veterinary interest using species-specific real-time PCR assays

The aim of the present study was to analyse the occurrence of chlamydiae in several mammalian host species. Clinical samples that previously tested positive in a Chlamydiaceae-specific real-time PCR were retested using six species-specific real-time PCR assays to identify the chlamydial species involved. Chlamydophila (Cp.) abortus was the agent most frequently found in cattle, sheep, horses, goats, and pigs. Detection in cattle of Cp. psittaci (11% of samples) and Chlamydia (C.) suis (9%), as well as Cp. psittaci in a goat sample was somewhat unexpected. DNA of two different chlamydiae was identified in 56 (12.7%) of 440 samples tested. Cp. felis was the predominant species found in cats, while in guinea pigs and rabbits only Cp. caviae was detected. Interestingly, the latter two pathogens were also identified in samples from dogs. The data show that mixed chlamydial infections are not rare and suggest an extended host range of individual species.

RésuméL’objectif de la présente étude est d’analyser l’occurrence de chlamydiae et ce, dans plusieurs espèces mammaliennes hôtes. Des échantillons cliniques, préalablement confirmés positifs par PCR en temps réel spécifique de la famille des Chlamydiaceae, ont été de nouveau testés via six PCR en temps réel espèces-spécifiques. Ainsi, il en résulte que Chlamydophila (Cp.) abortus est fréquemment retrouvé chez les bovins, moutons, chevaux, chèvres et cochons. La détection de Cp. psittaci and Chlamydia (C.) suis chez les bovidés (11% et 9% respectivement) ainsi que de Cp. psittaci dans un échantillon d́ovidé se révèle quelque peu inattendu. Sur 440 échantillons testés, 56 (soit 12,7%) contiennent l’ADN de deux espèces différentes de chlamydiae. Cp. felis représente l’espèce dominante chez le chat alors que Cp. caviae est présente uniquement chez les cobaye et lapin. Curieusement, ces deux pathogènes sont également détectés dans des échantillons d’origine canine. Les données tendent à démontrer que les infections simultanées par différentes espèces chlamydiales sont rarement des cas isolés et suggèrent dès lors d’étendre la gamme d’hôtes des espèces individuelles.