Article ID | Journal | Published Year | Pages | File Type |
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2428691 | Comparative Immunology, Microbiology and Infectious Diseases | 2006 | 17 Pages |
The development of immunity to vaccine antigen was examined using three prime/boost strategies and the progression of immune activities was evaluated over the course of 8 weeks. Calves were vaccinated and multiple immune parameters were evaluated using several methods to assess humoral or cellular immunity from the same samples in parallel. The three vaccination protocols used were a killed vaccine followed by a killed boost (killed/killed), MLV vaccine and boost (MLV/MLV), or a MLV vaccine and killed boost (MLV/killed). All the vaccines used included modified live IBR/PI3 viruses to make the bystander context as similar as possible. The Singer strain of BVDV was used as the source antigen in the killed vaccine, and the NADL strain of BVDV was used in the MLV vaccine. Controls received a vaccine containing only MLV IBR/PI3. The assessment panel measured SN titers, as well as lymphocyte proliferation, cytokine mRNA expression, intracellular cytokine production, and released IFN-γ after in vitro stimulation with three strains of BVDV virus. MLV/MLV and MLV/killed groups developed significant SN titers to the type 1 BVDV virus strains, Singer and NADL, and low crossover titers were also seen to the type 2 strain, 890 over the evaluation period. These two groups showed significant proliferation in response to the NADL virus as compared to controls. Multiple immune assessments were conducted simultaneously to attempt to provide a broader, more in depth evaluation of immune response to these BVDV vaccination protocols.We observed that the correlation among most of the assays conducted were weak; the correlation between SN titers and cellular proliferation assays demonstrated a moderate correlation.
RésuméTrois stratégies différentes d'immunisation ont été employées afin d'évaluer le pouvoir immunogène du vaccin. La progression du développement de la réponse immunitaire chez les veaux a été suivie pendant huit semaines. Diverses méthodes ont été employées afin d'analyser les différents composants, tant humoraux que cellulaires, de la réponse immunitaire. Chacune des stratégies de vaccination comportait deux injections au total; une stimulation initiale, suivie d'un rappel. Ainsi, chaque protocole de vaccination consistait à administrer soit, deux injections consécutives de virus tué, deux injections consécutives de virus modifié vivant (MVL) ou une première injection de virus modifié vivant (MVL), suivie d'une injection de virus tué. Tous les vaccins utilisés contenaient également une préparation de virus modifiés vivants (IBR/PI3), afin de rendre l'exfirimentation ‘bystander’ aussi homogène que possible. La souche de BVDV Singer a été utilisée comme antigène pour constituer le vaccin de virus tué, alors que la souche NADL a été employée pour constituer le vaccin de virus MLV. Les témoins négatifs ont reçu un vaccin contenant seulement la préparation d'IBR/PI3. Cinq paramètres différents ont été analysés lors de cette étude: le titre de séroneutralisation (SN), la prolifération lymphocytaire, l'expression des ARNm de cytokines, la production intracellulaire de cytokines et la production d'INF-γ en culture in vitro (en réponse à une stimulation produite par trois souches différentes de BVDV).Les groupes vaccinés avec soit MVL/MVL ou MVL/killed ont développé des titres de SN significatifs contre deux souches de BVDV appartenant au type 1 (Singer et NADL), tandis que de faibles titres (réactions croisées) ont été obtenus contre la souche de BVDV de type 2 (890). Ces deux groupes ont de plus démontré une prolifération lymphocytaire significative, comparativement au groupe contrôle, en réponse au virus NADL. Plusieurs tests ont ainsi été réalisés afin de fournir une analyse poussée de la réponse immunitaire produite chez les veaux, lors de l'utilisation de ces trois protocoles de vaccination contre le BVDV. La corrélation parmi la plupart des résultats obtenus était faible; la corrélation entre le titre de SN et la prolifération lymphocytaire était modérée.