کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3818415 | 1246368 | 2015 | 6 صفحه PDF | دانلود رایگان |

Points essentielsTout type de chirurgie est susceptible de donner des douleurs chroniques post-chirurgie (DCPC), y compris les procédures dites « mineures ».Les DCPC les plus invalidantes ont souvent une composante neuropathique.Les facteurs de risque de DCPC ont été déterminés depuis longtemps mais ils sont loin d’être sélectifs. De nouveaux outils de sélection préopératoire (ex. indice proposé par Althaus) ont été développés, mais ils restent encore trop imprécis.Actuellement, la prévention des DCPC pourrait être renforcée par une prise en charge améliorée des patients, notamment par un meilleur contrôle de la douleur postopératoire aiguë (douleurs d’origine neuropathique, utilisation judicieuse des analgésiques opiacés, meilleure vision de l’évolution des patients grâce aux trajectoires de douleur).
Key pointsAny type of surgery can lead to persistent pain (Chronic Post-Surgical Pain, CPSP), including minor or less invasive procedures.CPSP often but not always includes neuropathic pain features; when a neuropathic component is present, CPSP is more severe.The major risk factors for the development of CPSP are well known but not selective. New tools to target high-risk patients preoperatively are currently being assessed (e.g. the risk index from Althaus and colleagues) but remains not specific enough.Today, the prevention of CPSP might be improved by a better management of the patients, specifically by a better control of severe acute postoperative pain (i.e. early diagnosis of a neuropathic component involved, judicious utilization of peri-operative opioid analgesics, use of pain trajectories to better assess postoperative pain resolution).
Journal: La Presse Médicale - Volume 44, Issue 5, May 2015, Pages 486–491