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Stimulation ovarienne à fortes doses de gonadotrophines en FIV : étude rétrospective cas-témoin au CHU de Nantes
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علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی زنان، زایمان و بهداشت زنان
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Stimulation ovarienne à fortes doses de gonadotrophines en FIV : étude rétrospective cas-témoin au CHU de Nantes
چکیده انگلیسی

RésuméObjectifsL’activité d’assistance médicale à la procréation (AMP) est souvent confrontée à la difficulté des stimulations ovariennes chez des patientes mauvaises répondeuses. Malgré une littérature abondante sur le sujet, aucun consensus n’existe sur la stratégie à adopter en termes de protocole, de molécule ou de dose de gonadotrophines chez ces patientes. L’objectif principal de cette étude cas-témoin était de comparer les résultats des stimulations ovariennes en protocoles antagonistes à fortes doses de gonadotrophines (450 UI par jour minimum) à ceux à 300 UI par jour.MéthodesCette étude rétrospective monocentrique menée sur l’année 2013 a porté sur des cycles stimulés à 450 UI/j minimum. Chaque cycle était strictement apparié à un cycle témoin à 300 UI/j selon la technique d’AMP, l’âge, l’hormone anti-müllérienne (AMH) et l’indice de masse corporelle (IMC).RésultatsUn total de 82 cycles à fortes doses a été apparié avec 82 cycles témoins à 300 UI/j. Les 2 groupes étaient comparables, en dehors du pourcentage attendu de mauvaises répondeuses et du rang moyen de tentative. Aucune différence significative n’a été observée entre les groupes en termes de réponse ovarienne, de nombre d’ovocytes, d’embryons, de taux de fécondation, d’implantation et de grossesse évolutive.ConclusionsAucun protocole n’a démontré sa supériorité dans la littérature pour la stimulation des mauvaises répondeuses. Notre étude conclue en l’absence de supériorité d’un traitement de stimulation à fortes doses de gonadotrophines à 450 UI par jour versus 300 UI par jour.

ObjectivesWhile assisted reproductive technology (ART) activity increases throughout the world, most teams have to face with the challenge of ovarian stimulation in poor responders. Despite a huge amount of literature available, no consensus currently exists on the best protocol, molecule or dose to use in these patients. The main objective of this case-control study was to compare ovarian stimulation and IVF outcome in patients at risk of poor ovarian response undergoing antagonist protocol with high doses of gonadotropins (≥ 450 IU/day) versus patients undergoing stimulation at 300 IU/day.MethodsThis retrospective monocentric study was conducted in 2013 on antagonist cycles performed with ≥ 450 IU/day. Each cycle was matched with a control antagonist cycle with 300 IU/day injection, with strict matching for ART type, age, serum anti-müllerian hormone (AMH) and body mass index (BMI).ResultsA total of 82 high dose cycles were matched and compared with 82 control cycles. Both groups were comparable, except for poor responder prevalence and mean IVF rank, which were higher in high dose group than in control group. No significant difference was observed between the groups in terms of number of oocytes, embryos, fertilization rate, implantation and ongoing pregnancy rates.ConclusionsNo ovarian stimulation protocol has demonstrated its superiority in expected poor responders up to now, especially regarding doses of gonadotropins to use. Accordingly, our study did not show any difference between high dose stimulation regimen (≥ 450 IU/day) and conventional stimulation (300 IU/day) in terms of IVF cycle outcome.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Gynécologie Obstétrique & Fertilité - Volume 44, Issue 1, January 2016, Pages 29–34
نویسندگان
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