کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3949861 | 1254729 | 2013 | 9 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméL’histoire naturelle des carcinomes canalaires in situ (CCIS) n’est pas encore totalement élucidée, mais il est reconnu que le CCIS est le véritable précurseur du carcinome invasif. À ce jour, les études ont montré que le CCIS est aussi hétérogène que le carcinome invasif. Cependant, elles ont été incapables de prédire quel type de CCIS va progresser vers l’invasion. Plusieurs biomarqueurs ont été retenus pour leur valeur pronostique. Toutefois, sauf pour les récepteurs aux estrogènes et HER2, les marqueurs moléculaires ne sont pas encore largement utilisés dans la pratique clinique car leur valeur prédictive ne s’avère pas être meilleure que le grade et les systèmes classiques de classification des CCIS. Le fait d’identifier dans les CCIS des facteurs moléculaires de risque d’invasion pourrait être d’une grande valeur pour aider les patientes à haut risque de progression vers l’invasion dans leur décision thérapeutique et pour éviter le surtraitement chez les patients à faible risque.
The natural history of ductal carcinoma in situ (DCIS) is not fully elucidated, but it is recognized that DCIS is the true precursor of invasive carcinoma. Studies could show that DCIS is as heterogeneous as invasive ductal carcinoma, yet, they were unable to predict which DCIS will progress to invasion. Several biomarkers were also demonstrated to have a certain prognostic value. However, except for estrogen receptors and HER2, biomarkers are not yet widely used in clinical practice since their predictive value has not proven to be better than the grade and the classical classifying systems of DCIS. Identifying biomarkers for risk of invasiveness in DCIS could be of great value to help high risk patients through the management of their disease and to avoid overtreatment in low risk patients.
Journal: Gynécologie Obstétrique & Fertilité - Volume 41, Issue 1, January 2013, Pages 45–53