کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3952209 | 1254920 | 2010 | 5 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméL’utilisation de concentrations élevées en cryoprotecteurs (CPs) perméables pour vitrifier les ovocytes ou embryons est un des arguments majeurs évoqués par les nostalgiques de la congélation lente pour ne pas implémenter cette technique dans un programme d’AMP. Il est effectivement tellement plus simple de placer les ovocytes et/ou embryons dans un appareil de congélation programmable et de lancer un programme de refroidissement lent. Qui s’est posé la question des conséquences osmotiques et des concentrations intracellulaires en CPs atteintes à la fin d’un refroidissement lent ? Il ressort de trois études successives sur le zygote de souris que : (i) la concentration intracellulaire en CPs est de loin inférieure aux concentrations des solutions employées dans nos programmes de vitrification, (ii) la concentration intracellulaire en CPs du zygote vitrifié est inférieure à la concentration intracellulaire en CPs observée lors d’un processus de congélation lente, (iii) lors d’une congélation lente, la survie des zygotes est le reflet de la présence d’un état vitrifiant intracellulaire.
The use of high levels of cryoprotectants (CPs) in solutions applied to vitrify oocytes or embryos is an argument to still prefer slow freezing procedure. Is it a justified argument? Out of three studies using mice zygotes we may assume that (i) the intracellular concentration of CPs is far lower than the one in the vitrification solutions, (ii) the intracellular concentration of CPs in the vitrified zygote is in contrary to the common beliefs even lower than the one observed after a slow freezing procedure, (iii) survival after slow freezing reflects the presence of an intracellular vitrified state in these cells.
Journal: Gynécologie Obstétrique & Fertilité - Volume 38, Issue 9, September 2010, Pages 536–540