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Heterogeneity of pregnancy outcomes and risk of LGA neonates in Caucasian females according to IADPSG criteria for gestational diabetes mellitus
موضوعات مرتبط
علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی غدد درون ریز، دیابت و متابولیسم
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Heterogeneity of pregnancy outcomes and risk of LGA neonates in Caucasian females according to IADPSG criteria for gestational diabetes mellitus
چکیده انگلیسی

ObjectiveThe International Association of Diabetes and Pregnancy Study Group (IADPSG) guidelines for gestational diabetes mellitus (GDM) diagnosis determines that fasting, 1-h and 2-h glucose values may contribute independently to adverse outcomes. However, given the different physiological bases of impaired fasting glucose (IFG) and impaired glucose tolerance (IGT), differences in pregnancy outcomes are to be expected. This study aimed to determine whether classification of GDM women according to glucose homoeostasis results in heterogeneity in maternal and/or fetal outcomes.Material and methodsOf the 75 pregnant women included after a 75-g 2-h OGTT performed between weeks 24–32 of gestation as per WHO criteria, 55 were classified as GDM (16 with IFG and 39 with IGT) according to IADSPG criteria. Their anthropometric and metabolic characteristics were compared with those of non-GDM women with IFG or IGT. Maternal and neonatal outcomes were prospectively recorded for each group.ResultsGDM women with IFG, including isolated IFG and combined IFG + IGT, were significantly heavier, had higher leptin values and were more frequently multiparous than GDM women with isolated IGT. HOMA-IR was significantly higher when fasting glucose was impaired. There were no significant differences in maternal outcomes according to metabolic status. In addition, large for gestational age (LGA) neonates were significantly seen more often in the IFG group. Fasting glucose was significantly associated with LGA independently of BMI and 2-h OGTT glucose. The > 5.1 mmol/L cut-off value for fasting glucose was highly predictive of delivery of LGA infants.ConclusionIFG in GDM women was associated with increases in BMI, fat mass and hepatic insulin resistance. Delivery of LGA neonates was more frequent when fasting glycaemia was increased during the third trimester of pregnancy, and was independent of BMI and 2-h OGTT glucose values.

RésuméObjectifLes recommandations du Groupe international d’étude diabète et grossesse (IADPSG) indiquent que le diabète gestationnel peut se définir par une seule anomalie de la glycémie soit à jeun soit à une ou deux heures après une charge orale de 75 g de glucose. Nous avons cherché à déterminer dans quelle mesure cette classification induisait une hétérogénéité du pronostic maternel et/ou fœtal en fonction du type d’anomalie métabolique sous-jacente.Patientes et méthodesSoixante-quinze femmes enceintes ont été incluses après une HGPO de 75 de glucose entre 24 et 32 semaines d’aménorrhée. Parmi elles, 55 avaient les critères du diabète gestationnel (DG) en fonction des critères du IADPSG dont 16 avec une anomalie de la glycémie à jeun (IFG) et 39 avec une intolérance au glucose (IGT) soit isolée soit combinée avec une hyperglycémie à jeun. Les données anthropométriques et métaboliques ont été comparées entre les groupes et les données maternelles et fœtales analysées.RésultatsLes femmes du groupe IFG avaient un poids, des concentrations plasmatiques de leptine plus élevés et étaient plus fréquemment multipares que les femmes du groupe IGT. Les indices HOMA-IR étaient plus importants dans le groupe IFG. Nous n’avons pas observé de différences dans le pronostic maternel entre les groupes. En revanche, la proportion d’enfants nés avec un poids au-delà des normes pour l’âge gestationnel était plus élevée dans le groupe IFG. La glycémie à jeun était significativement associée à l’augmentation du poids fœtal de façon indépendante de l’IMC et de la glycémie deux heures après l’HGPO. Une valeur de glycémie à jeun supérieure à 5,1 mmol/L était fortement prédictive d’une anomalie pondérale fœtale.ConclusionsUne augmentation de la glycémie à jeun au cours de la grossesse est associée avec un IMC plus élevé, une masse grasse plus importante et une insulinorésistance hépatique. Le risque d’augmentation du poids de l’enfant à la naissance est plus fréquent lors d’une élévation de la glycémie au-delà de 5,1 mmol/L au troisième trimestre de grossesse, et cela de façon indépendante de l’IMC et des valeurs de glycémie à deux heures lors de l’HGPO.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Diabetes & Metabolism - Volume 39, Issue 2, April 2013, Pages 132–138
نویسندگان
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