کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3259914 | 1207595 | 2011 | 7 صفحه PDF | دانلود رایگان |

AimThis study aimed to assess whether group-based lifestyle counselling offered to a high-risk population subgroup had any effect beyond individual multifactorial interventions on fasting plasma glucose (FPG) and 2-h plasma glucose (2hPG) changes.MethodsIn a population-based study of 6784 participants, 4053 were determined to be at high risk based on a risk estimate of ischaemic heart disease or the presence of risk factors (smoking, hypertension, hypercholesterolaemia, obesity, impaired glucose tolerance). Of these subjects, 90% were randomized to high-intensity intervention (group A) and 10% to low-intensity intervention (group B). All participants went through health examinations, risk assessments and individual lifestyle counselling. Participants in group A were further offered group-based lifestyle counselling. The intervention was repeated after 1 and 3 years. A total of 2738 participants free of diabetes at baseline (1999–2001) and with at least one FPG and/or 2hPG measurement during 5 years of follow-up were included in the analyses. Differences in changes of plasma glucose between groups A and B were analyzed using multilevel linear regression.ResultsFor FPG, crude 5-year changes were significantly different between the two groups (group A: −0.003 mmol/L vs group B: −0.079 mmol/L; P = 0.0427). After adjusting for relevant confounders, no differences in FPG changes were observed (P = 0.116). Also, no significant differences in the 5-year changes in 2hPG between the two groups were observed (group A: − 0.127 mmol/L vs group B: −0.201 mmol/L; P = 0.546).ConclusionOffering additional group-based intervention to a high-risk population subgroup had no clinical effects on changes in plasma glucose beyond those of individualized multifactorial interventions.
RésuméObjectifÉvaluer dans quelle mesure des conseils de style de vie, donnés en groupe, proposés à une sous-population à haut risque, avaient un effet au-delà de l’intervention multifactorielle individuelle sur la glycémie à jeun (GPJ) et à deux heures (GP2 h).MéthodesDans une étude basée sur une population de 6784 participants, 4053 ont été déclarés à haut risque selon une estimation du risque de cardiopathie ischémique ou en fonction de facteurs de risque (tabagisme, hypertension, hypercholestérolémie, obésité ou intolérance au glucose). Quatre-vingt-dix pour cent de ces participants ont été randomisés pour une intervention de haute intensité (groupe A) et 10 % pour une intervention de basse intensité (groupe B). Tous les participants ont subi des examens médicaux, évaluation des risques et ont reçu des conseils individuels de style de vie. Aux participants du groupe A, des conseils de style de vie donnés en groupe ont été proposés. L’intervention a été répétée après un an puis trois ans. Au total 2738 participants non diabétiques à l’inclusion (1999 à 2001) et avec au minimum un contrôle de la GPJ et/ou de la GP2 h au cours des cinq années de suivi ont été inclus dans les analyses. La différence d’évolution de la glycémie entre les groupes A et B a été analysée par régression linéaire multiple.RésultatsPour le GPJ, le changement brut à cinq ans était significativement différent entre les deux groupes (groupe A : −0,003 mmol/l contre groupe B : −0,079 mmol/l, P = 0,0427). Après correction des facteurs de confusion pertinents, aucune différence d’évolution de GPJ n’a été observée (P = 0,116). Aucune différence significative d’évolution à cinq ans de GP2 h n’a été observée entre les deux groupes (groupe A : − 0,127 mmol/l contre groupe B : −0,201 mmol/l, P = 0,546).ConclusionsLe fait de proposer une intervention supplémentaire, donnée en groupe, à une population à haut risque n’a pas eu d’effet clinique, au-delà de l’intervention multifactorielle individualisée, sur la glycémie.
Journal: Diabetes & Metabolism - Volume 37, Issue 6, December 2011, Pages 546–552