کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
---|---|---|---|---|
3260409 | 1207621 | 2006 | 9 صفحه PDF | دانلود رایگان |

SummaryAimDysregulation of the normal levels of ghrelin, leptin and adiponectin in young non-obese subjects could promote food intake, diabetes and cardiovascular disease in later stages of life. Little information is available on how plasmatic concentrations of these hormones may be influenced by eating habits and/or components of energy balance in a young population, which if known, could facilitate their voluntary regulation.MethodsIn this cross-sectional study we examined the predictors of fasting plasma ghrelin, adiponectin and leptin in a population of well-characterized young non-obese women (N = 63). Energy intake was assessed by 24-hour dietary recall, resting metabolic rate (RMR) by indirect calorimetry, physical activity energy expenditure (PAEE) by tri-axial accelerometer, physical fitness by VO2peak, and eating behaviors by self administrated questionnaire.ResultsLower RMR and higher HDL-cholesterol were independent predictors of higher plasma ghrelin explaining 17.6% of its variation even after correcting for BMI. Higher total or central fat mass was the only predictor of higher plasma leptin, and no other variable added any power to the prediction equation. Finally, higher energy intake and waist circumference and lower PAEE predicted lower plasma adiponectin in young non-obese women, explaining 43% of the variation in its concentrations even after correcting for total or central fat mass.ConclusionComponents of the energy balance (ie: energy intake and/or expenditure) influence adiponectin and ghrelin circulating levels. That is, higher energy intake and lower physical activity independently predict lower adiponectin concentrations, whereas lower resting metabolic rate independently predicts higher ghrelin levels in young non-obese women. Prospective studies are needed to examine whether circulating concentrations of ghrelin and adiponectin can be voluntarily regulated by lifestyle interventions.
RésuméHabitudes de vie et composantesde la balance énergétique comme prédicteursde la ghréline, et de l'adiponectinechez des jeunes femmes non-obèsesObjectifLa dérégulation des concentrations normales de ghréline, leptine et d'adiponectine chez de jeunes sujets non-obèses pourrait favoriser une prise alimentaire excessive, le diabète et les maladies cardiovasculaires à un âge plus avancé. Cette étude vise à évaluer si les concentrations de ghréline, de leptine et d'adiponectine peuvent être influencées par des comportements alimentaires et/ou des composantes de la balance énergétique. Ces informations pourraient permettre de modifier les habitudes de vie pour influencer favorablement le profil hormonal.MéthodesDans cette étude transversale, les prédicteurs des concentrations de ghréline, de leptine et d'adiponectine furent évalués chez 63 jeunes femmes non-obèses. L'apport énergétique a été évalué par rappel de 24 h, le métabolisme basal (RMR) par calorimétrie indirecte, la dépense énergétique relative à l'activité physique (PAEE) par accéléromètre tri-axial, la condition physique par VO2peak et les habitudes alimentaires par des questionnaires auto-administrés.RésultatsUn métabolisme basal abaissé et des concentrations élevées de cholestérol HDL peuvent prédire 17,6 % des concentrations plasmatiques élevées de ghréline à jeun, et ce, après ajustement pour l'effet de l'IMC. Une adiposité centrale importante peut prédire les concentrations élevées de leptine. Finalement, une prise alimentaire hypercalorique, une circonférence de taille élevée et à une PAEE faible prédisent 43 % des concentrations abaissées d'adiponectine, et ce, après ajustement pour l'effet de la masse grasse centrale.ConclusionLes composantes de la balance énergétique (apport et/ ou dépense énergétique) influencent la concentration d'adiponectine et de ghréline. Des apports alimentaires hypercaloriques et la sédentarité sont associés à une réduction de la concentration d'adiponectine, alors qu'un métabolisme basal abaissé prédit de façon indépendante une augmentation de la concentration de ghréline chez de jeunes femmes non-obèses. Des études prospectives sont nécessaires afin d'examiner si les concentrations de ghréline et d'adiponectine peuvent être influencées par des modifications volontaires du mode de vie.
Journal: Diabetes & Metabolism - Volume 32, Issue 2, April 2006, Pages 131-139