کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3260425 | 1207622 | 2009 | 5 صفحه PDF | دانلود رایگان |

AimKetosis prone type 2 diabetes (KPD) is an atypical form of diabetes described mainly in people of sub-Saharan African origin. Its pathogenesis is unknown, although we have previously described a high prevalence of glucose-6-phosphate-dehydrogenase (G6PD) deficiency in patients with KPD. However, 50% of these deficient patients lacked the G6PD gene mutation. The isoforms of the transcription factor sterol regulatory element binding protein 1 (SREBP-1) are known to stimulate G6PD gene expression, and some polymorphisms in the SREBP-1 gene (SREBF-1) have been described only in Africans. We investigated one of these, the Arg585Gln polymorphism, in a candidate gene approach for KPD.MethodsWe examined the presence of the Arg585Gln polymorphism in SREBF-1 in 217 consecutive unrelated Africans [73 patients with KPD, 80 with classical type 2 diabetes (T2D) and 64 nondiabetic subjects]. Patients underwent clinical and biochemical evaluations, and were assessed for G6PD activity and insulin secretion (glucagon test).ResultsThere were no differences in frequency of the Arg585Gln polymorphism and the 585Gln allele among the three groups (allele frequency: KPD: 0.089, T2D: 0.031, nondiabetic group: 0.070; P = 0.1). When the 585Gln allele frequency was compared separately between patients with KPD and those with T2D, it was significantly higher in the former (P = 0.032). There was no difference between carriers and noncarriers of the 585Gln allele regarding G6PD activity and insulin secretion.ConclusionThe results of this exploratory study show that the polymorphism Arg585Gln in SREBF-1 is not associated with the KPD phenotype. Further studies in larger populations are needed to confirm our findings.
RésuméButLe diabète de type 2 cétosique (DT2C) a été décrit majoritairement chez les Africains sub-sahariens. Sa pathogénie n’est pas connue, bien que nous ayons décrit antérieurement une forte prévalence du déficit en G6PD chez des patients atteints de DT2C. Cependant, 50 % de ces patients déficients n’avaient pas de mutation du gène de la G6PD. Les facteurs de transcription SREBP-1 stimulent l’expression du gène de la G6PD et certains polymorphismes de leur gène SREBF-1 ont été décrits exclusivement chez des Africains. Nous avons étudié l’un de ces polymorphismes, Arg585Gln dans une approche gène candidat du DT2C.MéthodesLa présence du polymorphisme Arg585Gln a été étudiée chez 217 Africains non apparentés (73 DT2C, 80 [DT2] classique, 64 non diabétiques). Une évaluation clinique et biochimique a été réalisée chez les diabétiques, ainsi que la mesure de l’activité de la G6PD et de l’insulinosécrétion (test au glucagon).RésultatsAucune différence de fréquence du polymorphisme Arg585Gln ou de l’allèle 585Gln n’a été observée entre les trois groupes (fréquence allélique : DT2C 0 : 089 ; DT2 0 : 031 ; non diabétiques 0,070 ; P = 0,1). Comparée séparément entre les patients DT2C et DT2, la fréquence allélique 585Gln était plus élevée chez les DT2C (P = 0,032). Aucune différence n’a été trouvée entre les porteurs et les non-porteurs de l’allèle 585Gln concernant l’activité de la G6PD et l’insulinosécrétion.ConclusionLes résultats de cette étude exploratoire montrent que le polymorphisme Arg585Gln de SREBF-1 n’est pas associé au phénotype DT2C. Des études à plus grande échelle sont requises pour confirmer ces résultats.
Journal: Diabetes & Metabolism - Volume 35, Issue 1, February 2009, Pages 20–24