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Self-monitoring of blood glucose in people with type 1 and type 2 diabetes living in France: The Entred study 2001
موضوعات مرتبط
علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی غدد درون ریز، دیابت و متابولیسم
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Self-monitoring of blood glucose in people with type 1 and type 2 diabetes living in France: The Entred study 2001
چکیده انگلیسی

ObjectiveTo describe the practice of self-monitoring blood glucose (SMBG) testing and to determine factors linked to SMBG in people with diabetes living in France.MethodsThe 2001 Entred study, a French national survey of people being treated for diabetes, is based on a representative sample of 10,000 adults who claimed reimbursement for oral hypoglycaemic agents and/or insulin in October to December 2001 and who were randomly extracted from the database of the major National Health Insurance System. A questionnaire was mailed to all these people and was returned by 36% of them, who were then classified into three groups: type 1 diabetes (T1D, N = 235); type 2 diabetes treated with insulin (iT2D, N = 635); and type 2 diabetes treated with oral hypoglycaemic agents (oT2D, N = 2689). Factors associated with SMBG were analyzed using logistic regression models with a step-by-step forward approach.ResultsHbA1c was greater than or equal to 8% in 42% of people with T1D, 48% of those with iT2D and 21% of those with oTD2. Almost all of those treated with insulin performed SMBG. The frequency of self-monitoring was higher in T1D than in iT2D. In T1D, 58% of people reported they took at least three tests a day, as recommended in guidelines, which was more frequent in those who knew what HbA1c meant and in women. In iT2D, 74% reported that they took at least two tests a day, as recommended, and it was more frequent in those who knew what HbA1c meant, who reported at least one severe hypoglycaemic episode in 2001 and who received dietary advice from their practitioner. In oT2D, 38% reported using SMBG (six tests a week on average), even though no official recommendation had been provided for these patients. SMBG was also more frequent in patients being treated with multiple oral hypoglycaemic agents, in those who benefited from a waiver of co-payment due to a chronic disease and in those, who had visited a diabetes specialist in 2001, reported they knew what HbA1c meant, received dietary advice and reported at least one severe hypoglycaemic episode in 2001 and/or a history of diabetes complications.ConclusionIn France, as per the official recommendations, almost all people on insulin treatment use a SMBG device while, overall, their glucose control remains poor. More than one-third of those with oT2D regularly perform SMBG. In only 3% of people, the regular use of SMBG does not appear to be related to any special needs or events (such as insulin treatment, occurrence of severe hypoglycaemia or chronic complications).

RésuméObjectifsDécrire la pratique de l’autosurveillance glycémique (ASG) et déterminer les facteurs associés à cette pratique chez les personnes diabétiques en France.MéthodesEntred 2001 est une enquête nationale auprès des personnes traitées pour le diabète. Cette étude porte sur un échantillon représentatif de 10 000 adultes ayant été remboursés d’antidiabétiques oraux et/ou d’insuline entre octobre et décembre 2001, tirés au sort dans les bases de données du régime général de l’assurance maladie. Un questionnaire a été envoyé à ces personnes et 36 % d’entre elles ont répondu et ont été classées en trois groupes : les personnes diabétiques de type 1 (DT1 ; n = 235), celles diabétiques de type 2 traitées par insuline (DT2i ; n = 635) et celles diabétiques de type 2 traitées par antidiabétiques oraux uniquement (DT2o ; n = 2689). Les facteurs associés à l’ASG ont été analysés dans des modèles de régression logistique créés par une méthode « pas-à-pas ascendante ».RésultatsLe niveau d’HbA1c était supérieur ou égal à 8 % chez 42 % des DT1, 48 % des DT2i et 21 % des DT2o. Pratiquement toutes les personnes traitées par insuline pratiquaient l’ASG. La fréquence des contrôles était plus élevée dans le DT1 que dans le DT2i. Dans le DT1, 58 % des personnes déclaraient pratiquer au moins trois contrôles de glycémie par jour, comme recommandé, ce qui était plus fréquent chez celles déclarant connaître ce que l’HbA1c signifie et chez les femmes. Dans le DT2i, 74 % des personnes déclaraient pratiquer au moins deux contrôles par jour, comme recommandé, ce qui était plus fréquent chez celles déclarant connaître ce que l’HbA1c signifie, celles déclarant au moins une hypoglycémie sévère en 2001 et celles ayant reçu des conseils diététiques par leur médecin. Dans le DT2o, 38 % déclaraient pratiquer l’ASG (six fois par semaine en moyenne), bien qu’aucune recommandation ne soit décrite pour ce groupe. L’ASG était plus fréquente chez les personnes traitées par plusieurs antidiabétiques oraux, celles bénéficiant d’une prise en charge financière au titre d’une affection de longue durée, celles ayant consulté un spécialiste du diabète en 2001, celles déclarant connaître ce que l’HbA1c signifie, celles ayant reçu des conseils diététiques et celles ayant déclaré au moins une hypoglycémie sévère en 2001 et/ou des antécédents de complications du diabète.ConclusionsEn France, comme il est recommandé, la plupart des personnes traitées par insuline pratiquent régulièrement l’ASG, alors que leur contrôle glycémique est globalement médiocre. Plus d’un tiers des personnes DT2o pratiquent régulièrement l’ASG. Chez seulement 3 % des personnes diabétiques, la pratique de l’ASG n’apparaît pas justifiée si on se réfère aux recommandations (traitement par insuline, antécédents d’hypoglycémies sévères, complications chroniques).

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Diabetes & Metabolism - Volume 34, Issue 3, June 2008, Pages 219–226
نویسندگان
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