کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3388283 | 1220743 | 2010 | 4 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméObjectifsLe but de cette étude descriptive était d’évaluer le risque fracturaire par le score Frax™ chez 494 femmes non traitées en début de ménopause (45–60 ans) en fonction de la prise en charge proposée.MéthodesLe risque fracturaire de chaque femme a été évalué par le recueil des facteurs de risque, l’examen clinique et la mesure de densité minérale osseuse (DMO) par DXA. Au terme de la consultation, 128 femmes (26 %) ont été traitées. Le score Frax™ a été calculé après la décision médicale.RésultatsLe Frax™ moyen était de 3,9 ± 2 % pour les fractures ostéoporotiques (OP) majeures et de 0,8 ± 0,9 % pour celles de l’extrémité supérieure du fémur (ESF). Les femmes traitées avaient un score Frax™ significativement plus élevé (p < 0,001) que les femmes non traitées. Le pourcentage de femmes traitées augmentait significativement (p < 0,0001) avec le score Frax™, de 7,8 % pour le premier quintile (Q1) à 50,5 % pour Q5. Le traitement hormonal de ménopause (THM) ou le raloxifène représentaient 92 % des prescriptions lorsque le Frax™ était entre Q1 et Q4 et les bisphosphonates représentaient 70 % des prescriptions lorsque le Frax™ était dans Q5.ConclusionsLes résultats montrent que chez des femmes en début de ménopause le risque fracturaire est faible à modéré (Frax™ = 3–4 %). L’indication et la nature du traitement prescrit étaient corrélées à l’augmentation du Frax™. La définition de seuils d’intervention thérapeutiques apparaît nécessaire pour une meilleure prise en charge de l’ostéoporose. En début de ménopause, ces seuils pourraient différer en fonction du type de traitement.
Journal: Revue du Rhumatisme - Volume 77, Issue 4, July 2010, Pages 378–381