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Apport des tests sécrétoires dans la mise en évidence d’une dysrégulation végétative au cours des troubles vésicosphinctériens idiopathiques. Comparaison avec les tests cardiovasculaires de la fonction autonome
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Apport des tests sécrétoires dans la mise en évidence d’une dysrégulation végétative au cours des troubles vésicosphinctériens idiopathiques. Comparaison avec les tests cardiovasculaires de la fonction autonome
چکیده انگلیسی

RésuméButComparer au cours d’hyperactivités vésicales ou de dysuries idiopathiques non neurogènes, l’apport diagnostique des tests sécrétoires versus celui des tests cardiovasculaires de la fonction autonome (TCVSNA).MéthodeCent vingt-quatre patients (57 femmes, 67 hommes, d’âge moyen 45 ans) ont été explorés. Toute pathologie neurologique, urologique ou iatrogène était éliminées. Ont été réalisés, outre un bilan urodynamique, les tests sécrétoires suivants : test de Schirmer (TSch), test au sucre (TS), débimétrie salivaire (DS) ; pour les tests cardiovasculaires de la fonction autonome (TCVSNA) : ratio 30/15 (R30/15), hypotension orthostatique (HO), respiration ample dirigée (RAD), manœuvre de Valsalva (MV), cold pressor test (CPT) et hand grip test (HGT).RésultatsHuit fois les tests cardiovasculaires de la fonction autonome se sont avérés positifs (quatre cas d’hyperactivité vésicale, quatre cas de dysurie-rétention). Nous ne retrouvons aucune corrélation entre les TCVSNA et les tests sécrétoires, qu’il s’agisse du TS (p = 0,72), de la DS (p = 1), ou du TSch (p = 0,1). Il existe une corrélation significative entre TSch et TS (p = 0,049), mais pas entre TSch et DS (p = 0,69) ou entre DS et TS (p = 0,06).ConclusionsLes tests sécrétoires n’ont pas suffit pour assurer le diagnostic de dysfonctionnement du système nerveux autonome devant un trouble vésicosphinctérien, les TCVSNA demeurant toujours indispensables. Ces dysrégulations du système nerveux végétatif étaient rares (8/124 soit 6,5 %) dans le déterminisme d’une hyperactivité vésicale ou d’une dysurie « idiopathiques ».

SummaryPurposeTo compare autonomic nervous system cardiovascular tests (ANSCVT) and lacrymal and or salivary secretion tests (LSST).MethodOne hundred and twenty-four patients (57 females, 67 males, mean age 45) with lower urinary tract symptoms (overactive bladder syndrome or voiding dysfunction) without neurogenic or urological causes, were included. Urodynamic was performed in all the patients with LSST (saliva flowmetry-sialometry [SFS], candy weight-loss test [CWT], Schirmer test [SchT]) and ANSCVT (ratio 30:15, orthostatic hypotension analysis, deep breath test [DBT], Valsalva maneuver [VM], cold pressor test [CPT] and hand grip test [HGT]).ResultsIn eight cases, ANSCVT were altered (four in OAB syndrome, four in voiding dysfunction). No correlation was found between positive ANSCVT and LSST (P = 0.72 for CWT, P = 1 for SFS, P = 0.1 for SchT). In contrary, there is a significant correlation between SchT and CWT (P = 0.049), but not between SchT and SFS (P = 0.69) or SFS vs CWT (P = 0.06).ConclusionIn this series LSST were not sufficient to track down autonomic nervous system alterations and ANSCVT always necessary. Autonomic dysfunctions were infrequent in OAB syndrome and “idiopathic” voiding dysfunctions (6.5%).

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Progrès en Urologie - Volume 23, Issue 8, June 2013, Pages 524–529
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