کد مقاله کد نشریه سال انتشار مقاله انگلیسی نسخه تمام متن
3823965 1246735 2014 9 صفحه PDF دانلود رایگان
عنوان انگلیسی مقاله ISI
Dosage du PSA, biopsie, cancer et hypertrophie bénigne de la prostate en France
موضوعات مرتبط
علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی پزشکی و دندانپزشکی (عمومی)
پیش نمایش صفحه اول مقاله
Dosage du PSA, biopsie, cancer et hypertrophie bénigne de la prostate en France
چکیده انگلیسی

RésuméIntroductionLa fréquence des tests du prostate-specific antigen (PSA) est élevée en France. Cette étude a permis d’estimer leur fréquence et celles de biopsies et de cancer de la prostate (CPr) nouvellement diagnostiqués selon l’existence d’une hypertrophie bénigne (HBP) traitée.Patients et méthodesCette étude observationnelle a concerné les hommes de 40 ans et plus couverts par le régime général (73 % de la population de cet âge). Les informations provenaient du système national d’information inter-régimes de l’Assurance maladie (SNIIRAM) qui rassemble de façon individuelle des informations sur les prescriptions et prestations remboursées aux assurés des différents régimes et, à l’aide d’un chaînage, celles de leurs éventuelles hospitalisations fournies par le programme de médicalisation du système d’information (PMSI).RésultatsLa fréquence des hommes sans CPr diagnostiqué (10,9 millions) avec au moins un dosage du PSA était très élevée en 2011 (40 ans et plus : 30 %, 70–74 ans : 56 %, 85 ans et plus : 33 % et hors HBP : 25 %, 41 % et 19 %). Les hommes avec une HBP totalisaient 9 % des hommes de l’étude en 2011, 18 % de ceux avec au moins un test du PSA, 44 % pour la biopsie et 40 % pour un CPr nouvellement diagnostiqué. En trois ans et hors CPr, 88 % des hommes avec une HBP avaient eu au moins un dosage du PSA et 52 % trois ou plus et, pour ceux sans HBP, 52 % et 15 %. Un an après un test du PSA, ceux de 55–69 ans avec une HBP avaient plus fréquemment une biopsie de la prostate que ceux sans HBP (5,4 % vs 1,8 %) et aussi un CPr nouvellement diagnostiqué (1,9 % vs 0,9 %).ConclusionEn France, les fréquences de dosages du PSA sont élevées même après exclusion des hommes avec une HBP. Ces derniers avec des fréquences plus élevées de dosages du PSA et de biopsies sont plus susceptibles d’avoir un CPr pris en charge.Niveau de preuve4.

SummaryIntroductionProstate-specific antigen (PSA) testing is high in France. The aim of this study was to estimate their frequency and those of biopsy and newly diagnosed cancer (PCa) according to the presence or absence of treated benign prostatic hyperplasia (BPH).Patients and methodsThis study concerned men 40 years and older covered by the main French national health insurance scheme (73 % of all men of this age). Data were collected from the national health insurance information system (SNIIRAM). This database comprehensively records all of the outpatient prescriptions and healthcare services reimbursed. This information are linked to data collected during hospitalisations.ResultsThe frequency of men without diagnosed PCa (10.9 millions) with at least one PSA test was very high in 2011 (men aged 40 years and older: 30 %, 70–74 years: 56 %, 85 years and older: 33 % and without HBP: 25 %, 41 % and 19 %). Men with treated BPH totalized 9 % of the study population, but 18 % of the men with at least one PSA test, 44 % of those with at least one prostate biopsy and 40 % of those with newly managed PCa. Over a 3-year period, excluding men with PCa, 88 % of men with BPH had at least one PSA test and 52 % had three or more PSA tests versus 52 % and 15 % for men without BPH. One year after PSA testing, men of 55–69 years with BPH more frequently underwent prostate biopsy than those without BPH (5.4 % vs 1.8 %) and presented PCa (1.9 % vs 0.9 %).ConclusionsPSA testing frequencies in France are very high even after exclusion of men with BPH, who can be a group with more frequent managed PCa.Level of evidence4.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Progrès en Urologie - Volume 24, Issue 9, July 2014, Pages 572–580
نویسندگان
, , , , , , , , , , ,