Effects of high-intensity interval training on aerobic and anaerobic indices: Comparison of physically active and inactive men

SummaryAimsThe purpose of this study was to compare the effects of high-intensity interval training (HIT) program on maximal oxygen uptake (VO2max), first ventilatory threshold (VT1) and second (VT2), 3000-m running time (3000-m RT), peak power output (PPO) and mean power output (MPO) in physically active and inactive men.MethodsTwelve healthy young inactive men (age = 19.1 ± 1 years) and 12 collegiate soccer players (age = 19.4 ± 1 years) volunteered for this study. Each training session involved a 10 min warm-up followed by a HIT program consisting of 6–10, 30 s all-out sprints with a 4 min recovery. A 5 min cool down period was then performed. This regiment was done three times per week for eight consecutive weeks.ResultsSignificant improvements (P < 0.05) were found in VO2max (7.6%), VT1 (4.5%), VT2 (4.2%), 3000-m RT (−4.4%), PPO (8.3%) and MPO (10.9%) following the HIT program in the active group. We showed significant improvements (P < 0.05) in VO2max (13.7%), VT1 (3.8%), VT2 (3.8%), 3000-m RT (−5.8%), PPO (14.6%) and MPO (19%) following the HIT program among inactive subjects. The inactive group exhibited greater improvements in VO2max (P ≤ 0.05), PPO (P ≤ 0.05) and MPO (P ≤ 0.01) than the active group. In conclusion, greater improvement was observed in the inactive subjects, despite greater maximal values in the active group.

RésuméObjectifsCette étude a eu pour objectif de vérifier les effets d’un entraînement de haute intensité et en intervalle (HIT) sur la consommation maximale d’oxygène (VO2max), les premier et second seuils ventilatoires (respectivement VT1 et VT2), la performance sur un 3000-m en course à pied (RT), le pic de puissance (PPO) et la puissance moyenne, chez des sujets volontaires entraînés ou maintenus sédentaires.MéthodesDouze homes sédentaires en bonne santé (âge = 19,1 ± 1 ans) et 12 étudiants joueurs de football (âge = 19,4 ± 1 ans) ont été volontaires pour participer à cette année. Chaque séance d’entraînement comprenait dix minutes d’échauffement suivies par un programme de HIT consistant en six à dix, exercices de sprint exhaustif de 30 secondes, séparées par quatre minutes de récupération. Une période de récupération de cinq minutes clôt chaque séance d’entraînement. Les sujets entraînés pratiquent trois séances d’entraînement par semaine, pendant huit semaines.RésultatsL’entraînement HIT induit une amélioration significative (p < 0,05) de VO2max (7,6 %), VT1 (4,5 %), VT2 (4,2 %), 3000-m RT (−4,4 %), PPO (8,3 %) et MPO (10,9 %), chez les sportifs entraînés. On observe aussi une amélioration significative (p < 0,05) de VO2max (13,7 %), VT1 (3,8 %), VT2 (3,8 %), 3000-m RT (−5,8 %), PPO (14,6 %) et MPO (19 %) après l’application de l’entraînement chez des sujets sédentaires. Une amélioration plus marquée est d’ailleurs observée chez les sujets auparavant sédentaires, notamment sur VO2max (p ≤ 0,05), PPO (p ≤ 0,05) et MPO (p ≤ 0,01), en comparaison aux sujets préalablement entraînés. En conclusion, bien que les valeurs des variables physiologiques soient plus élevées en fin de programme d’entraînement chez les sujets entraînés, les sujets sédentaires sont plus sensibles à l’entraînement HIT.