The effects of different intensity walking programs on serum blood lipids, high-sensitive C-reactive protein, and lipoprotein-associated phospholipase A2 in premenopausal women

AimThis study examined the effects of 12 weeks of walking programs on serum lipids, high-sensitive C-reactive protein, and lipoprotein-associated phospholipase A2.MethodsTwenty-six pre-menopausal women (30–49 years) completed 12 weeks of walking programs either at moderate or high intensity (50–55%, 70–75% maximum heart rate reserve, respectively). Estimated maximal oxygen consumption was assessed with a 2-km walking test; body composition, blood lipids, high-sensitive C-reactive protein, and lipoprotein-associated phospholipase A2 were measured before and after the study.ResultsMaximal oxygen consumption increased, favoring high-intensity group; body weights, percent body fat (p < 0.01) and body mass index (p < 0.05) decreased in both exercise groups. There were no significant changes in the measured blood lipids in any of the groups, except for a significant reduction in low-density lipoprotein-cholesterol in high-intensity group (p < 0.05). High-sensitive C-reactive protein and lipoprotein-associated phospholipase A2 levels reduced significantly in high-intensity (p < 0.01) and moderate-intensity (p < 0.05) groups, which were also different from the changes in the control group.ConclusionWalking programs with different intensity result in favorable changes; however, for protective effects against cardiovascular diseases, high-intensity walking may be advised due to greater reductions in low-density lipoprotein-cholesterol, and high-sensitive C-reactive protein and lipoprotein-associated phospholipase A2.

RésuméObjectifÉtudier les effets de 12 semaines de programmes de marche sur les lipides sériques, la protéine C réactive ultrasensible et la phospholipase A2 associée à une lipoprotéine.MéthodesVingt-six femmes préménopausées (30–49 ans) ont suivi 12 semaines de programmes de marche d’intensité modérée ou élevée (respectivement 50–55 % et 70–75 % maximum de la fréquence cardiaque de réserve). L’estimation de la consommation maximale d’oxygène a été réalisée par un test de marche sur 2 km. La composition corporelle, les lipides sanguins, la protéine C réactive ultrasensible et la phospholipase A2 associée à une lipoprotéine ont été mesurés avant et après l’étude.RésultatsLa consommation maximale d’oxygène a augmenté, favorisant le groupe à activité élevée. Le poids corporel, le pourcentage de graisse corporelle (p < 0,01) et l’indice de masse corporelle (p < 0,05) ont diminué dans les deux groupes d’exercice. Il n’y a pas eu de changements significatifs dans les mesures des lipides sanguins dans aucun des groupes, à l’exception d’une réduction significative du cholestérol à lipoprotéine de basse densité dans le groupe à activité élevée (p < 0,05). Les taux de protéine C réactive ultrasensible et de phospholipase A2 associée à une lipoprotéine ont diminué de manière significative dans le groupe à activité élevée (p < 0,01) et le groupe à activité modérée (p < 0,05). Ces changements étaient également différents de ceux observés dans le groupe témoin.ConclusionLes programmes de marche à différentes intensités entraînent des changements favorables. Cependant, pour obtenir des effets protecteurs contre les maladies cardiovasculaires, la marche à intensité élevée peut être conseillée en raison de plus importantes réductions des taux de cholestérol à lipoprotéine de basse densité, de protéine C réactive ultrasensible et de phospholipase A2 associée à une lipoprotéine.