Strength training improves plasma parameters, body composition and liver morphology in ovariectomized rats

SummaryObjectiveThe aim of this study was to identify the effects of strength training on plasma parameters, body composition and the liver of ovariectomized rats.MethodsWistar sedentary (SHAM), ovariectomized (OVX), and ovariectomized trained rats (strength training [OVX-EXE]) of 85% of one maximal repetition (1 RM), three times per week, for 10 weeks, were used on this study. We monitored the body weight and visceral (uterine, mesenteric and retroperitoneal) and subcutaneous adiposity, total cholesterol, triglycerides, HDL, blood glucose and liver morphology to identify the presence of macrovesicular steotosis (haematoxylin and eosin staining).ResultsWe observed that strength training changed body weight (SHAM 293.0 ± 14.5 g; OVX 342.6 ± 10.8 g; OVX-EXE 317.7 ± 11.9 g, P < 0.05), visceral and subcutaneous adiposity, glucose (SHAM 111.2 ± 10.0 mg/dL; OVX 147.4 ± 18.8 mg/dL; OVX-EXE 118.5 ± 2.2 mg/dL, P < 0.05), increased HDL (SHAM 82.7 ± 1.4 mg/dL; OVX 64.6 ± 2.8 mg/dL; OVX-EXE 91.4 ± 2.6 mg/dL, P < 0.05) and reduced macrovesicular steatosis in liver tissue.ConclusionsConsidering the data obtained in this research, we emphasise the use of strength exercise training as a therapeutic means to combat or control the metabolic disturbances associated with menopause, including adiposity, and adverse changes in blood glucose, blood HDL and macrovesicular steatosis.

RésuméObjectifLe but de cette étude était d’identifier les effets de l’entraînement en force sur les paramètres du plasma, la composition corporelle et le foie des rats ayant subi une ovariectomie.MéthodeNous avons comparé des rats Wistar ovariectomisés après entraînement en force (OVX-EX) à raison de 85 % de 1 RM, trois fois par semaine pendant dix semaines à un groupe de rats ovariectomisés (OVX) et SHAM pour l’ovariectomie. Nous avons analysé le poids corporel et l’adiposité viscérale (utérus, mésentériques et rétropéritonéaux), graisse sous-cutanée, le cholestérol total et le cholestérol HDL, les triglycérides, glycémie et de la morphologie du foie pour identifier la présence de la stéatose macrovésiculaire (hématoxyline-éosine).RésultatsNous avons observé que l’entraînement en force a entraîné des changements dans le poids corporel (SHAM 293,0 ± 14,5 g ; OVX 342,6 ± 10,8 g ; OVX-EXE 317,7 ± 11,9 g, p < 0,05), l’adiposité viscérale et sous-cutanée, le glucose (SHAM 111,2 ± 10,0 mg/dL ; OVX 147,4 ± 18,8 mg/dL ; OVX-EXE 118,5 ± 2,2 mg/dL, p < 0,05), augmentation du HDL-cholestérol (SHAM 82,7 ± 1,4 mg/dL ; OVX 64,6 ± 2,8 mg/dL ; OVX-EXE 91,4 ± 2,6 mg/dL, p < 0,05) et réduit l’apparition du stéatose macrovésiculaire.ConclusionCompte tenu des données obtenues dans cette étude, nous mettons en évidence l’utilisation de l’entraînement en force comme un moyen thérapeutique pour combattre et/ou contrôler les troubles métaboliques associés à la ménopause, y compris l’adiposité et les changements défavorables de la glycémie, HDL sanguine et la stéatose macrovésiculaire.