کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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4267833 | 1284850 | 2007 | 11 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméDe nos jours, l'hystérectomie reste, après la césarienne, l'intervention chirurgicale la plus fréquemment réalisée chez la femme en âge de procréer. Introduite en 1989, l'hystérectomie cœlioscopique a du mal à s'implanter, et actuellement moins de 5 % des hystérectomies sont réalisées par cœlioscopie. Pourtant, après une formation adaptée, la cœlioscopie trouve parfaitement sa place au sein des hystérectomies réalisées pour pathologies bénignes, voire malignes, avec un taux de complications comparable à celui des autres voies d'abord. Actuellement les limitations de cette technique sont les utérus très volumineux, la contre-indication à la morcellation utérine, l'allongement du temps opératoire qu'elle peut engendrer et le manque de formateurs expérimentés.
Today, hysterectomy is, after caesarean section, the most frequent surgical intervention performed in fertile women. Introduced in 1989, laparoscopic hysterectomy remains poorly diffused: today, less than 5% of all hysterectomies remain done by laparoscopy. Nevertheless after a correct learning curve, laparoscopic hysterectomy finds perfect indications in benign and even some malignant indications. In these conditions, the complication rate is similar to those of the other surgical routes. Currently the limitations of this technique are the very bulky uterus, contraindicated uterine morcellation, the lengthening of the operative time potentially generated by this technique, and the lack of experienced instructors.
Journal: Annales d'Urologie - Volume 41, Issue 2, April 2007, Pages 80–90