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Palaeoaplysinella gen. nov. and Likinia Ivanova and Ilkhovskii, 1973 emend., from the type Moscovian (Russia) and the algal affinities of the ancestral palaeoaplysinaceae n. comb
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Palaeoaplysinella gen. nov. and Likinia Ivanova and Ilkhovskii, 1973 emend., from the type Moscovian (Russia) and the algal affinities of the ancestral palaeoaplysinaceae n. comb
چکیده انگلیسی
À cause de leur tissu cellulaire souvent confondu avec celui des algues Archaeolithophyllum, les paléoaplysines semblent pouvoir être rapprochées des algues rouges Archaeolithophyllaceae. La désignation botanique Palaeoaplysinaceae prévaudrait alors et un ordre Archaeolithophyllales pourrait rassembler les Archaeolithophyllaceae, Palaeoaplysinaceae et différentes « algues phylloïdes ». Une nouvelle forme ancestrale des paléoaplysines fossiles est décrite dans l'horizon de Podolsk (partie inférieure du Moscovien supérieur) du bassin de Moscou : Palaeoaplysinella n. gen. avec P. moscovica n. sp. pour espèce-type. Cette petite forme n'est pas constructrice de récifs et est le plus souvent remaniée dans des grainstones riches en algues et en fusulines. Sa structure la distingue nettement des deux taxons préalablement attribués aux paléoaplysinacées dans le Moscovien supérieur : (a) les Likinia du Podolskien-Myachkovien du bassin de Moscou, et (b) les paléoaplysines du Desmoinésien de l'Utah (États-Unis). La description générique exacte de ces dernières, qui ne sont ni des Palaeoaplysina ni des Palaeoaplysinella, reste à faire, mais ce sont d'authentiques représentants du groupe, alors que Likinia emend. n'appartient en aucune façon aux paléoaplysinacées, bien que sa position systématique reste mystérieuse. Connues dès leur origine sur un vaste territoire, de Moscou à l'Utah, les Palaeoaplysinaceae semblent être restées, jusqu'au bout, inféodées à l'océan Ouralien, et liées à son histoire. Elles sont vraisemblablement les meilleurs marqueurs paléobiogéographiques d'une province subtropicale et tempérée-chaude, qui s'étendait, de 45 à 15°N, sur l'Oural, le Groenland, l'Archipel Arctique canadien, diverses parties du Craton Nord-Américain et le Terrain Suspect des Klamaths (Californie), et dont les limites méridionales étaient constituées à l'ouest par le sud des États-Unis et le nord du Mexique (Sonora), et à l'est par la dépression Précaspienne et le Donbass. Cela implique que le Terrain Akiyoshi du Japon, dont la position est discutée, puisse être placé grâce à ses Palaeoaplysina, entre 15 et 45° de latitude nord pendant l'Assélien (premier étage du Permien).
ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Geobios - Volume 40, Issue 6, November–December 2007, Pages 849-860
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