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Un faible nombre préalable de lymphocytes B n'est pas un facteur de risque d'infection chez les patients traités par rituximab pour des maladies auto-immunes : étude observationnelle
موضوعات مرتبط
علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی ایمونولوژی، آلرژی و روماتولوژی
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Un faible nombre préalable de lymphocytes B n'est pas un facteur de risque d'infection chez les patients traités par rituximab pour des maladies auto-immunes : étude observationnelle
چکیده انگلیسی

RésuméObjectifsLe traitement par rituximab (RTX) est de plus en plus courant chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) réfractaire et d'autres maladies auto-immunes (MAI) sévères. Dans la pratique, de nombreux cliniciens sont réticents à prescrire du RTX aux patients ayant un faible nombre de lymphocytes B, en raison du risque d'infection présumé. L'objectif de cette étude était donc de chercher à déterminer si le nombre de lymphocytes B avant traitement ou retraitement par RTX était prédictif de l'apparition d'infections.MéthodesÉtude observationnelle monocentrique menée sur 161 patients traités par RTX pour PR et d'autres MAI dans un hôpital tertiaire. Les taux de lymphocytes B CD19+ ont été évalués par cytométrie en flux et une analyse multivariée, ajustée selon divers facteurs potentiellement prédictifs, a été réalisée.RésultatsLe taux d'infection sévère a été de 5,9/100 patients-année chez les patients atteints de PR et de 24,9 chez ceux souffrant d'une autre MAI (p < 0,001). Les faibles nombres de lymphocytes B au moment de la perfusion de RTX n'ont pas été associés à une infection sévère consécutive (HR 0,55, p = 0,60) ni à une infection en général (HR 0,85, p = 0,58). Les facteurs avant traitement significativement prédictifs d'une infection sévère étaient un diagnostic autre que la PR (HR 4,68, p < 0,001), des concentrations d'immunoglobuline (Ig) G < 7 g/L (HR 2,36, p = 0,01), l'âge (HR 1,03, p = 0,01) et le diabète (HR 3,61, p = 0,01).ConclusionsDe faibles nombres de lymphocytes B avant perfusion de RTX n'étaient pas prédictifs d'infections consécutives dans la population traitée par RTX pour une PR et d'autres MAI, ce qui ne soutient pas la pratique de l'évaluation des lymphocytes B avant traitement. Toutefois, un risque accru d'infection sévère a été confirmé pour de faibles concentrations d'IgG avant traitement, un âge plus avancé, le diabète et d'autres MAI que la PR.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Revue du Rhumatisme - Volume 84, Issue 2, March 2017, Pages 138-144
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