کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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1090313 | 1487228 | 2012 | 9 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméMalgré de nombreux succès des mouvements féminins et des progrès substantiels vers l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes au Bangladesh, en Inde et au Népal, des acteurs étatiques ou non utilisent la violence de manière systémique pour exclure les femmes marginalisées de la participation comme citoyennes titulaires de droits dans les sphères publiques et privées. La recherche sur la violence faite aux femmes demeure inadéquate si elle ne tient pas compte des causes et des conséquences de la violence quand l'identité sexuelle se croise avec d'autres identités basées sur la sexualité, le handicap ou l'occupation des femmes poussées en marge de la société, y compris dans notre imagination collective. Cette étude a enquêté sur l'hypothèse selon laquelle les femmes marginalisées dans la société d'Asie du Sud, notamment les lesbiennes, les professionnelles du sexe et les femmes avec un handicap physique ou mental, supportent des taux plus élevés de violence et sont souvent incapables de demander et d'obtenir une protection des organismes étatiques. L'étude avait trois objectifs principaux : quantifier les niveaux de violence subie par les femmes marginalisées au Bangladesh, en Inde et au Népal et cataloguer leurs expériences ; examiner les niveaux de services à leur disposition ; et mesurer le soutien (ou l'opposition) politique pour s'attaquer à la violence à l'égard des femmes marginalisées.
ResumenPese a los numerosos logros de los movimientos de mujeres y a los significativos avances hacia la igualdad de género y el empoderamiento de las mujeres en Bangladesh, India y Nepal, actores tanto gubernamentales como no gubernamentales han utilizado la violencia sistémicamente para excluir a las mujeres marginadas de participar como ciudadanas con derechos en los ámbitos público y privado. Las investigaciones sobre la violencia contra las mujeres continúan siendo inadecuadas si no toman en cuenta las causas y consecuencias de la violencia cuando las identidades de género intersectan con otras identidades a raíz de la sexualidad, discapacidad u ocupación entre mujeres desplazadas hacia los márgenes de la sociedad, incluso en nuestra imaginación colectiva. Este estudio investigó la hipótesis de que las mujeres que están fuera de la corriente dominante de la sociedad de Asia meridional, incluidas lesbianas, trabajadoras sexuales y mujeres con discapacidad física o mental, sufren tasas más altas de violencia y a menudo no pueden buscar y recibir protección de instituciones gubernamentales. El estudio tuvo tres objetivos principales: cuantificar los niveles de violencia sufrida por mujeres marginadas en Bangladesh, India y Nepal y catalogar sus experiencias; revisar los niveles de prestación de servicios a su disposición; y analizar el alcance del apoyo político (u oposición) para eliminar la violencia contra las mujeres marginadas.
Journal: Reproductive Health Matters - Volume 20, Issue 40, December 2012, Pages 198–206