Validation of the Finnish diabetes risk score (FINDRISC) questionnaire for screening for undiagnosed type 2 diabetes, dysglycaemia and the metabolic syndrome in Greece

AimThe present study aimed to validate the Finnish Type 2 Diabetes Risk Score (FINDRISC) questionnaire for its ability to predict the presence of any glucose homoeostasis abnormalities and the metabolic syndrome (MetS) in the Greek population.MethodsValidation was performed on a sample of individuals who had agreed to participate in a screening program for type 2 diabetes (T2D) prevention (the Greek part of the DE–PLAN study), using both FINDRISC and oral glucose tolerance tests (OGTT). Impaired fasting glucose (IFG) was defined as a fasting plasma glucose level of 6.1–6.9 mmol/L, and impaired glucose tolerance (IGT) as a 2-h plasma glucose of 7.8–11.0 mmol/L. The predictive value of the FINDRISC was cross-sectionally evaluated using the area under the receiver operating characteristic (AUROC) curve method.ResultsA total of 869 individuals (379 men, aged 56.2 ± 10.8 years) were screened from the general population living in the city and suburbs of Athens. OGTT revealed the presence of unknown diabetes in 94 cases (10.8%), IFG in 85 (9.8%) and IGT in 109 (12.6%). The sensitivity of a FINDRISC score greater or equal to 15 (45% of the population) to predict unknown diabetes was 81.9% and its specificity was 59.7%. The AUROC curve for detecting unknown diabetes was 0.724 (95% CI: 0.677–0.770). For any dysglycaemia, the AUROC curve was 0.716 (0.680–0.752) while, for detection of the MetS, it was 0.733 (0.699–0.767).ConclusionThe FINDRISC questionnaire performed well as a screening tool for the cross-sectional detection of unknown diabetes, IFG, IGT and the MetS in the Greek population.

RésuméButLa présente étude avait pour but de valider le questionnaire finlandais FINDRISC en termes de prévision des anomalies de la glycorégulation et du syndrome métabolique dans la population grecque.MéthodesLa validation a été réalisée à partir d’un échantillon d’individus qui avaient accepté de participer à un programme de dépistage dans le cadre de la prévention du diabète type 2 (DT2) (participation grecque à l’étude DE–PLAN), en utilisant le score FINDRISC ainsi qu’une hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO). L’hyperglycémie modérée à jeun (IFG) a été définie par une glycémie à jeun comprise entre 6,1 et 6,9 mmol/L et l’intolérance au glucose (IGT) par une glycémie deux heures après glucose comprise entre 7,8 et 11,0 mmol/L. La valeur prédictive du score FINDRISC a été évaluée transversalement, en utilisant les caractéristiques opératoires de la surface sous courbe (AUROC).RésultatsUn total de 869 sujets (379 hommes, âgés de 56,2 ± 10,8 ans) a été sélectionné parmi la population générale de la ville et des environs d’Athènes. L’HGPO a révélé un diabète méconnu chez 94 sujets (10,8 %), une IFG chez 85 sujets (9,8 %) et une IGT chez 109 sujets (12,6 %). La sensibilité du score FINDRISC supérieur ou égal à 15 (45 % de la population) pour la prédiction d’un diabète méconnu était de 81,9 % et sa spécificité de 59,7 %. L’AUROC pour le dépistage d’un diabète méconnu était de 0,716 (0,680–0,752), l’AUROC pour la mise en évidence du syndrome métabolique de 0,733 (0,699–0,767).ConclusionCette étude montre que le questionnaire FINDRISC s’avère être un outil performant pour le dépistage du diabète, de l’hyperglycémie modérée à jeun, de l’intolérance au glucose et du syndrome métabolique dans un échantillon de la population grecque.