کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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345544 | 617528 | 2006 | 14 صفحه PDF | دانلود رایگان |

ObjectiveThe purpose of this study is to identify factors that predict recidivism among families in which the father is the perpetrator of physical abuse and to compare these factors to the factors that investigators believe are related to higher risk.MethodA case-comparison design was used to understand risk among 137 predominantly Caucasian families in which a father had injured a child.ResultsThe multivariate analysis showed that families in which the father was unemployed (greater time at risk), had younger children, was not the biological father of all of the children, did not take responsibility for his behavior, seriously injured a child, and maltreated a child in the past were more likely to re-abuse. These factors, along with whether the mother had a criminal history, correctly predicted recurrence for 83% of the families. The investigators correctly predicted recurrence for 70% of the families.ConclusionsThe investigators placed too much emphasis on some variables that were not related to recurrence, such as the mother's mental health and whether she tried to protect her children. These results may be useful in adapting assessment systems that do not take into consideration the gender of the perpetrator.
RésuméObjectifCette étude avait pour but d’identifier des facteurs pouvant prédire le récidivisme dans des familles dont le père inflige des mauvais traitements physiques et de comparer ces facteurs à ceux que les chercheurs croyaient reliés au risque élevé de maltraitance.MéthodeUn design comparant les éléments de risque dans 137 cas de familles principalement de race blanche dont le père avait blessé un enfant.RésultatsL’analyse de plusieurs variables démontrent que les familles dont le père était sans travail (donc souvent à proximité des enfants), n’était pas le père naturel de tous les enfants, vivant dans une famille où il y avait de jeunes enfants, ne se sentait pas responsable de son comportement, avait gravement blessé un enfant et avait déjà été l’auteur de mauvais traitements dans le passé étaient plus aptes à connaître des incidents de maltraitance répétés. Ces facteurs, et le fait que la mère aurait un casier judiciaire, ont prédit justement le récidivisme dans 83% des familles. Les chercheurs ont prédit correctement le récidivisme dans 70% des cas.ConclusionsLes chercheurs ont accordé trop d’emphase aux variables qui n’avaient aucun rapport au récidivisme, telles que la santé mentale de la mère et sa volonté de vouloir protéger ses enfants. Ces résultats pourraient servir à adapter des mesures d’évaluation qui présentement sont insensibles au sexe de l’agresseur.
ResumenSpanish-language abstracts not available at time of publication.
Journal: Child Abuse & Neglect - Volume 30, Issue 5, May 2006, Pages 467–480