کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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345758 | 617567 | 2006 | 19 صفحه PDF | دانلود رایگان |

ObjectiveThis study identifies factors associated with child protective services (CPS) involvement among current and former welfare recipients after welfare reform legislation was passed in the US in 1996.MethodData come from the Women's Employment Study, a longitudinal study of randomly selected welfare recipients living in a Michigan city in 1997 (N = 541). In order to identify risk factors for CPS involvement among current and former welfare recipients, multinomial logit analyses with 29 independent variables were employed on a trichotomous dependent variable: no CPS involvement, investigation only, and supervision by CPS after investigation.ResultsThe relationship between work and involvement with CPS differs by work experience prior to welfare reform. As the percentage of months working after welfare reform increased, the risk of being investigated by CPS declined among those with prior work experience but the risk increased among those without prior work experience. However, work variables were not significant predictors of supervision by CPS after an initial investigation. Further, race, cohabitation, childhood welfare receipt, having a learning disability, having a large number of children, being newly divorced, living in a high problem neighborhood, and being convicted of a crime were associated with one's probability of being either investigated or supervised by CPS.ConclusionsThese findings suggest that employment could have increased the stress levels of current or former welfare recipients without prior work experience to the point where they were prone to minor child rearing mistakes that resulted in a CPS investigation, but were not severe enough to warrant opening the case for supervision. Supports should be provided to welfare mothers who are prone to involvement with CPS; expansions in the childcare subsidy and a reduction or delay in work requirements might also help these families.
RésuméObjectifEn 1996, des réformes du système d’aide sociale ont été instituées aux États Unis. Cette étude identifie des facteurs relatifs aux interventions des services de protection de l’enfance auprès des bénéficiaires courants et passés d’aide sociale financière, suite à ces réformes.MéthodeLes données ont été tirées d’une étude longitudinale américaine sur un échantillon aléatoire de femmes vivant dans une ville du Michigan en 1997 (N = 541), et recevant de l’aide sociale. Afin d’identifier des facteurs qui pourraient occasionner l’intervention des services de la protection de l’enfance parmi des bénéficiaires courantes et passées, les auteurs ont mené une analyse de 29 variables indépendantes appliquées à une variable dépendante à trois facettes, soit: aucune intervention de la part des services de protection, une enquête seulement et une surveillance par ces mêmes autorités une fois l’enquête terminée.RésultatsLa relation entre le travail et l’intervention par des services de protection de l’enfance variait selon l’expérience de travail qui précéda les réformes. Après les réformes, à mesure que le nombre de mois au travail augmente, le risque d’être l’objet d’une enquête par les services de protection de l’enfance baisse parmi les familles qui avaient un travail avant les réformes, tandis que le risque augmente dans le cas où les mères étaient sans travail avant la réforme. Toutefois, les variables reliées au travail lui-même ne sont pas des facteurs pouvant prédire le besoin d’une surveillance post-enquête. De plus, la race, la cohabitation, le fait de recevoir une aide à l’enfance, les difficultés d’apprentissage, un grand nombre d’enfants, un divorce récent, vivre dans un quartier à problèmes multiples et le fait d’avoir commis un crime sont reliés à la probabilité qu’il y aura une enquête ou une surveillance par les autorités de la protection de l’enfance.ConclusionsCes constats portent à croire que d’avoir un emploi pourrait augmenter le stress des bénéficiaires d’aide sociale courantes ou passées qui n’avaient jamais travaillé auparavant, au point où elles auraient été portées à commettre des erreurs parentales qui ont amené les autorités à enquêter, mais qui n’étaient pas suffisamment graves pour justifier d’ouvrir un dossier pour fins de surveillance. Il serait à recommander de fournir des appuis aux mères recevant de l’aide financière et qui sont aptes à faire l’objet d’une attention des autorités de la protection de l’enfance; l’expansion de l’aide financière pour créer des garderies et alléger ou reporter à plus tard l’obligation de prendre un emploi pourraient aussi aider ces familles.
ResumenSpanish language abstract not available at time of publication.
Journal: Child Abuse & Neglect - Volume 30, Issue 11, November 2006, Pages 1181–1199