Prevalence of Q fever in domestic animals with reproductive disorders

The occurrence of Coxiella burnetii in animals with reproductive disorders was studied. A total of 920 samples (genital and faecal swabs, milk, urine and serum) were collected from cows (88), buffaloes (33), sheep (43) and goats (53) with a history of reproductive disorders and screened for C. burnetii by a PCR assay targeting the repetitive transposon-like region of C. burnetii (trans-PCR), real-time PCR, indirect immunofluorescence assay (IFA), enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) and isolation method. The overall prevalence of Q fever in animals with the history of reproductive disorders turned out to be 13.82%. The species-wise prevalence of Q fever among animals was observed to be 12.78% in cattle, 16.66% in buffaloes, 11.04% in sheep and 6.13% in goats. In comparison to IFA, the highest sensitivity (85.18%) was shown by both PCR assays followed by ELISA (74.07%) and isolation method (14.81%) whereas, isolation method was the most specific (100%) followed by both PCR assays (99.47%) and ELISA (98.44%). The high excretion rate of pathogen particularly in milk observed in the study posses a potential public health threat from infected animals.

RésuméLa présence de Coxiella brunetii a été étudiée chez l’animal présentant des désordres de la reproduction. Au total, 920 échantillons ont été collectés, (prélèvements d’origine génitale, fécale, urinaire, dans le lait ou dans le serum) chez des animaux ayant des désordres de la reproduction [chez la vache (88), le buffle (33), le mouton (43) et la chèvre (53)], et testés pour la détection de C. brunetti, par PCR en utilisant la région répétée de type transposon (trans-PCR), par PCR en temps reel, immunofluorescence indirecte assay (IFA), enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) et réisolement. La prévalence globale de fièvre Q chez les animaux ayant une histoire de désordres de la reproduction s’est avérée être de 13,82%. La prévalence de la fièvre Q specifique d’espèce observée est de 12,78% pour le bétail, 16,66% chez les buffles, 11,04% chez le mouton et 6,13% chez la chèvre. Par rapport à l’IFA, la sensibilité de détection la plus élevée (85,18%) a été obtenue avec les méthodes de PCR, suivies par l’ELISA (74,07%) et la méthode d’isolement (14,81%), tandis que la méthode d’isolement s’est avèrée la plus spécifique (100%) suivie par les techniques de PCR (99,47%) et d’ELISA (98,44%). Le taux élevé d’excrétion du pathogène observé dans cette étude chez les animaux infectés, en particulier dans le lait, soulève l’existence d’un problème potentiel de santé publique.