کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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3252576 | 1207067 | 2010 | 6 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméLe besoin d’une imagerie calibrée des ovaires polykystiques (OPK) est plus fort que jamais depuis la conférence de consensus qui s’est tenue à Rotterdam du 1er au 3 mai 2003. Cependant, imager les ovaires polykystiques n’est pas une procédure facile et requiert un certain savoir-faire technique et médical. L’échographie en deux dimensions reste l’examen standard d’imagerie des OPK et la définition des OPK dans le consensus actuel retenue à la conférence de consensus ASRM/ESHRE repose sur cette technique : 12 ou davantage de follicules mesurant 2 à 9 mm de diamètre et/ou un volume ovarien augmenté au-delà de 10 cm3. Cependant, ces seuils nécessitent d’être revus avec les nouveaux appareils possédant une meilleure résolution spatiale et avec l’apparition de l’échographie 3-D. Les études en doppler et en imagerie par résonance magnétique (IRM) sont rarement utiles au diagnostic mais peuvent être intéressantes en recherche clinique.
The need for a calibrated imaging of polycystic ovaries (PCO) is now stronger than ever since the consensus conference held in Rotterdam in 2003. However, imaging PCO is not an easy procedure and it requires a thorough technical and medical background. The two-dimensional (2-D) ultrasonography (U/S) remains the standard for imaging PCO and the current consensus definition of PCO determined at the joint ASRM/ESHRE consensus meeting on PCOS rests on this technique: either 12 or more follicles measuring 2 to 9 mm in diameter and/or increased ovarian volume (> 10 cm3). However, these thresholds need being revisited with the use of the new machines that have better spatial resolution and with the advent of the 3-D U/S. Doppler study and magnetic resonance imaging (MRI) are seldom useful for diagnosis but may be interesting for clinical research.
Journal: Annales d'Endocrinologie - Volume 71, Issue 3, May 2010, Pages 183–188