کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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4008957 | 1602392 | 2016 | 5 صفحه PDF | دانلود رایگان |
ObjectiveTo determine the level of agreement between non–eye care trainees and a trainer (ophthalmologist) in a vision screening program.DesignProspective, observational study carried out in 3 phases (Phase I–III).ParticipantsStudy population included 1228 children, aged 6–14 years, at 5 elementary schools in the city of Hamilton.MethodsIn Phase I, 1228 children were screened by the trainee screeners, of which 273 children failed the vision testing. Of these 273 children, 170 consented to enrolment into Phase II and were examined by an ophthalmologist, who confirmed that 105 of these children were true positives. On retesting (Phase III), the ophthalmologist passed 158 of the 163 randomly selected children who passed in Phase I.ResultsOverall, trainee screeners had a sample sensitivity of 95.5% and sample specificity of 70.8% in detecting children who should fail vision screening. When we used the positive and negative prediction values obtained, 198 of the 1228 children had vision impairment—providing an estimated prevalence of 16.1%, or 161 children per 1000 population.ConclusionsNon–eye care professionals can be trained to an acceptable degree of accuracy to perform certain vision screening tests on children. Such screening methods may be a useful approach to address existing gaps in provision of eye care for many Canadian children, thereby ensuring that all children receive timely vision screening.
RésuméObjectifDéterminer le niveau d’accord entre des non-professionnels de la vue en formation et un formateur (ophtalmologiste) dans un programme de dépistage des troubles de la vue.NatureÉtude observationnelle prospective en trois phases (phase I-III).Participants1228 enfants de 6 à 14 ans de cinq écoles élémentaires de Hamilton.MéthodesÀ la phase I, 1 228 enfants ont été évalués par des dépisteurs en formation. De ce nombre, 273 enfants n’ont pas réussi le test de vision. 170 de ces 273 enfants ont accepté de participer à la phase II et ont été examinés par un ophtalmologiste, qui a confirmé le diagnostic de 105 enfants. À la suite d’un nouvel examen réalisé par l’ophtalmologiste (phase III), 158 élèves ont réussi le test sur 163 choisis au hasard parmi ceux qui l’avaient réussi à la phase I.RésultatsLes dépisteurs en formation ont affiché une sensibilité de 95,5 % et une spécificité de 70,8 % pour la détection d’enfants qui auraient dû échouer au test de vision. En utilisant les valeurs de prédiction positives et négatives obtenues, on a déterminé que 198 des 1228 enfants avaient un trouble de la vision, soit une prévalence estimée de 16,1 % ou de 161 enfants par tranche de 1000 personnes.ConclusionsIl est possible de former des non-professionnels de la vue pour qu’ils atteignent un niveau de précision acceptable en réalisant divers tests de dépistage de troubles de la vue chez des enfants. De telles méthodes de dépistage peuvent être utiles pour pallier des lacunes dans les régions mal desservies du Canada, et ainsi offrir à tous les enfants canadiens un dépistage rapide des troubles de la vue.
Journal: Canadian Journal of Ophthalmology / Journal Canadien d'Ophtalmologie - Volume 51, Issue 1, February 2016, Pages 25–29