The epistemic responsibilities in medicine of beneficence and respect for patient autonomy

Les praticiens médicaux ont les responsabilités fondamentales d'être bienfaisant et de respecter l'autonomie du patient. Dans cet article, j'analyse ces responsabilités en ce qui concerne le support inégal que la science médicale fournit au jugement des praticiens médicaux et aux biais cognitifs du jugement démontrés par psychologie. Plus précisément, la science médicale fournit la fondation du jugement pour les praticiens médicaux à propos des pratiques médicales bienfaisantes. Cette fondation, cependant, est limitée en portée. Dans certains cas, la science médicale fournit des directives claires et sans ambiguïté. Mais dans d'autres, il fournit des directives limitées ou des informations générales. Dans ces derniers cas, dans lequel les recommandations des praticiens sont basées sur des innovations intuitives, leur jugement dépasse les conclusions de la science médicale, ouvrant ces jugements au biais cognitif. De même que la psychologie a démontré, tous les deux décideurs (les laïcs et les experts) ont un biais inconscient dans leur jugement. Alors, les innovations intuitives des praticiens médicaux seront biaisées en manière prévisible, ce qui menace leurs efforts pour faire des jugements bienfaisants au nom des patients. Ces mêmes conclusions de psychologie indiquent que le jugement du patient sera également biaisé. Même que les praticiens proposent des recommandations impartiales, les jugements de patients au sujet des soins médicaux correspondant à leurs intérêts et valeurs peuvent faiblir parce que d'un biais inconscient. En ce qui concerne de ces caractéristiques des jugements du patient et du praticien, cet article identifie plusieurs caractéristiques des responsabilités des praticiens pour être bienfaisant et pour respecter l'autonomie des patients. Plus précisément, les praticiens médicaux sont obligés d'être conscients que leurs recommandations sont inégalement fiable, et que c'est probable que les biais peuvent affecter ces recommandations. En plus, les praticiens devraient favoriser les recommandations basées sur des processus plus fiables et devraient « pousser » les décisions des patients dans certaines circonstances. Enfin, cet article soulève des questions sur quelle mesure existe la responsabilité des médecins pour respecter l'autonomie des patients.