The Relative Effectiveness of Self-Management Programs for Type 2 Diabetes

ObjectivesThe objectives of the study were to investigate the effectiveness of 2 types of peer-led self-management programs in bringing about improvements in subjects with type 2 diabetes mellitus and to determine whether there were differences in effectiveness between the 2 programs.MethodsThe study used a 3-arm randomized controlled trial design with clinical measures taken at baseline and at 6 and 12 months post-program. In total, 405 persons completed baseline questionnaires and were randomly allocated to a diabetes self-management program (n=130), to a general self-management program (n=109) or to a control group (n=122). A 2-way factorial analyses of variance was employed as the primary statistical analysis.ResultsThe findings showed that the self-management programs had affected 5 of the 30 measures: fatigue, cognitive symptom management, self-efficacy with regard to the disease in general, communication with physician, and the score on the Diabetes Empowerment Scale. In addition, 3 variables—social role limitations, total hospital nights and glycated hemoglobin levels—showed marginally significant interaction effects. The second analysis found similar results, with 4 of the 5 measures remaining statistically significant: fatigue, cognitive symptom management, communication with physician and diabetes empowerment, with neither program being more effective than the other.ConclusionsThe major findings are that although both programs were effective in bringing about positive changes in the outcome measures, there was little difference in effectiveness between the Diabetes Self-Management Program and the Chronic Disease Self-Management Program. This finding is consistent with the principle that behaviour-change strategies using self-efficacy are key components in health education programs.

RésuméObjectifsL’étude avait pour objectif d’examiner l’efficacité de 2 types de programmes de prise en charge autonome menés par des pairs pour entraîner des améliorations chez les sujets souffrant du diabète de type 2 et de déterminer s’il existait des différences d’efficacité entre les 2 programmes.MéthodesL’étude a utilisé un plan expérimental d’essai comparatif à répartition aléatoire à 3 bras qui comportait des mesures cliniques prises au début, et à 6 et 12 mois après le programme. Au total, 405 personnes ont rempli les questionnaires sur la situation de départ et ont été réparties de manière aléatoire dans un programme de prise en charge autonome du diabète (n=130), dans un programme de prise en charge autonome général (n=109) ou dans un groupe témoin (n=122). Des analyses de la variance à deux facteurs ont été utilisées comme principale analyse statistique.RésultatsLes résultats ont montré que les programmes de prise en charge autonome avaient influé sur 5 des 30 mesures : la fatigue, la prise en charge des troubles cognitifs, le sentiment d’efficacité personnelle concernant la maladie en général, la communication avec le médecin et le score à la Diabetes Empowerment Scale. De plus, 3 variables (les limites du rôle social, les nuits d’hospitalisation totales et les concentrations d’hémoglobine glyquée) ont montré des effets d’interaction légèrement significatifs. La deuxième analyse a montré des résultats similaires à 4 des 5 mesures qui restaient statistiquement significatives : la fatigue, la prise en charge des troubles cognitifs, la communication avec le médecin et l’autonomisation des personnes atteintes du diabète, sans qu’aucun des programmes soit plus efficace que l’autre.ConclusionsLes principaux résultats montrent que bien que les deux programmes aient été efficaces pour amener des changements positifs dans les critères d’évaluation, il existait une petite différence d’efficacité entre le Diabetes Self-Management Program et le Chronic Disease Self-Management Program. Cette conclusion corrobore le principe selon lequel les stratégies de modification du comportement utilisant le sentiment d’efficacité personnelle sont des composantes essentielles des programmes d’éducation à la santé.