Greater nondominant hand proficiency is not associated with enhanced simulated surgical performance

ObjectiveTo determine whether greater nondominant hand proficiency, or handedness approaching ambidexterity, is associated with better two-handed anterior segment surgical outcomes.DesignRepeated-measures study.ParticipantsOur study included 14 resident physicians from various medical specialties, including ophthalmology, from our academic institution.MethodsThe Eyesi surgical simulator was used to measure the surgical proficiency of 14 resident physicians at our institution on a dominant hand, nondominant hand, and separate bimanual task. The Edinburgh Handedness Inventory (EHI) was used to provide a measure of handedness for each participant.ResultsThe measured parameters were dominant hand, nondominant hand, and bimanual task scores as determined by the Eyesi surgical simulator and gradients of handedness as determined by the Edinburgh Handedness Inventory for each participant. Having greater nondominant hand proficiency did not enhance two-handed surgical outcomes (p = 0.23). Surgical proficiency was greater bimanually compared with use of the nondominant hand alone (median score 74.0 vs 61.0; p = 0.0007), and bimanual and dominant hand surgical performances were not statistically significantly different from each other (median score 74.0 vs 70.5; p = 0.17).ConclusionsOur study shows that having greater nondominant hand proficiency is not a necessary trait for simulated anterior segment surgical aptitude. Two-handed surgical outcomes are directly related to dominant hand surgical performance but less so to the nondominant hand.

RésuméObjetDéterminer s’il y a un lien entre une plus grande adresse chirurgicale de la main non dominante, ou une dextérité qui s’approche de l’ambidextrie, et les résultats de chirurgies bimanuelles du segment antérieur.NatureMesures répétées.Participants14 médecins résidents de diverses spécialités médicales (dont l’ophtalmologie) de notre établissement d’enseignement ont participé à l’étude.MéthodesNous avons utilisé le simulateur de chirurgie EyeSi pour mesurer l’adresse chirurgicale de 14 médecins résidents de notre établissement. Les sujets ont effectué des tâches avec leur main dominante, avec leur main non dominante et avec les deux mains. Nous avons utilisé le Questionnaire de latéralité d’Edimbourg (QLE) pour mesurer la prévalence manuelle de chaque participant.RésultatsLes paramètres mesurés sont les résultats obtenus aux tâches avec la main dominante, la main non dominante et les deux mains selon le simulateur EyeSi et la mesure de prévalence manuelle selon le QLE pour chaque participant. Une meilleure dextérité avec la main non dominante n’a pas amélioré les résultats aux tâches à deux mains (p=0,23). L’adresse chirurgicale était meilleure aux tâches effectuées avec les deux mains qu’à celles effectuées avec la main non dominante seulement (résultat médian : 74,0 c. 61,0; p=0,0007). Elle n’était toutefois pas significativement différente sur le plan statistique entre les tâches à deux mains et les tâches avec la main dominante (résultat médian : 74,0 c. 70,5; p=0,17).ConclusionNotre étude montre qu’une excellente adresse chirurgicale de la main non dominante n’est pas une qualité nécessaire à l’aptitude aux chirurgies du segment antérieur sur simulateur, et que les résultats des tests effectués à deux mains sont directement liés à l’adresse chirurgicale de la main dominante, mais moins à l’adresse de la main non dominante.