Reprint of: Barriers to accessing low-vision care: the patient’s perspective

ObjectiveTo review the literature regarding barriers that hinder access to low-vision (LV) care from the perspective of individuals with vision impairment.DesignLiterature review.MethodsPubMed and Scopus were used to identify relevant cross-sectional studies of awareness of, and barriers to, LV rehabilitation. Studies were included if they met the following criteria: (i) year of publication within the past 20 years (between 1992 and 2012), and (ii) participants of the study included individuals with vision impairment. Fourteen studies met the criteria for inclusion and were included in this review.ResultsBarriers to accessing low-vision service (LVS), from the perspective of individuals with vision impairment, included the following: misconceptions of LVSs, miscommunication by eye care professionals, lack of awareness, location and transportation, the need to appear independent, negative societal views, influence of family and friends, insufficient visual impairment to warrant services, cost of LVS, and reduced perception of vision loss relative to other losses in life. Other factors that were associated with lower use of LVS included income level, comorbidities, and education level.ConclusionsThe reasons for not accessing LV rehabilitation are complex, and some may be more easily addressed than others. A heightened awareness of LV rehabilitation may be achieved with better communication by eye care professionals and with public education. The stigma associated with the usage of LV aids and admitting a disability still seems to exist, but may be reduced by increasing societal understanding of LV.

RésuméObjet?>Examen de la documentation concernant les obstacles qui gênent l’accès aux soins de redressement de la faiblesse visuelle dans la perspective des personnes ayant une déficience visuelle.Nature?>Revue de la littératureMéthodes?>PUBMED et SCOPUS ont été utilisés pour identifier des études transversales pertinentes portant sur la sensibilisation et les obstacles d’accès à la réadaptation visuelle. L’inclusion des études reposait sur les critères suivants : (1) les publications pertinentes des 20 dernières années (entre 1992 et 2012); (2) les personnes atteintes de déficience visuelle comprises dans les études. Quatorze études ont répondu aux critères d’inclusion et furent comprises dans la revue.Résultats?>Dans la perspective des personnes ayant des faiblesses visuelles, les obstacles à l’accès aux services de traitement comprenaient ce qui suit : les mauvaises communications des professionnels des soins oculaires, le manque de sensibilisation, l’incompréhension des services de faiblesse visuelle, la localisation et le transport, le besoin de paraître indépendant, les vues négatives de la société, l’influence de la famille et des amis, l’insuffisance de la déficience visuelle pour justifier les services, le coût des services de déficience visuelle et la faible perception de la perte visuelle relativement à d’autres pertes durant la vie. D’autres facteurs, furent associés à une plus faible utilisation des services de déficience visuelle, notamment la faiblesse du revenu, les comorbidités et le manque d’enseignement.Conclusion?>Les raisons de ne pas accéder au redressement de la faiblesse visuelle sont complexes, mais on peut en aborder certaines plus facilement que les autres. Par exemple, de meilleures communications de la part des professionnels des soins oculaires et un meilleur enseignement public pourraient accroître la sensibilisation au redressement de la faiblesse visuelle. Les stigmates associés à l’utilisation d’aides à la faiblesse visuelle et à l’admission d’un déficit visuel semblent toujours exister et peuvent être réduits en augmentant la compréhension sociale de la faiblesse visuelle.