Research productivity of Canadian ophthalmology departments in top 10 ophthalmology and vision science journals from 2001 to 2010

ObjectiveTo evaluate the research productivity of Canadian ophthalmology departments in terms of research volume, impact, funding, and cost-efficiency, and compare these measures with the top 6 U.S. departments.DesignSystemic review.MethodsUsing the Web of Science, we obtained the number of peer-reviewed research articles and citations in which an author listed an ophthalmology department (or affiliated university or hospital) from 2001 to 2010 in the top 10 ophthalmology and vision sciences journals, as well as the Canadian Journal of Ophthalmology. Federal research funding received from the Canadian Institutes of Health Research and National Institutes of Health was also obtained.ResultsThe 3 universities that produced the highest number of articles were the University of Toronto (UofT), McGill University, and the University of British Columbia (UBC). UofT also produced the largest number of citations, followed by UBC and Dalhousie University. For the number of citations per article, the top 3 were the University of Ottawa, Dalhousie University, and the University of Calgary. McGill University, the University of Montreal, and UofT received the most federal funding. The 3 Canadian universities with the lowest funding (cost) per article were UofT, UBC, and McMaster University. The top contributors to the Canadian Journal of Ophthalmology from 2001 to 2010 were UofT, the University of Ottawa, and McGill University.ConclusionsLarger Canadian departments tended to generate higher research volume and obtained more federal funding, but smaller departments also contributed significantly, and sometimes surpassed larger departments, in terms of research impact and cost-efficiency. The top 6 U.S. departments generated higher research volume and received more federal research funding than their Canadian counterparts. However, when research impact and cost-efficiency were examined, Canadian departments performed similar to the top U.S. departments.

RésuméObjetÉvaluation de la productivité de la recherche des départements d'ophtalmologie du Canada pour ce qui est du volume, de l'impact, du financement et du rapport coût-efficacité de la recherche, et comparaison avec les six premiers départements des É.-U.NatureRevue systématique.MéthodesEn utilisant les sites Web de la science, l'on a obtenu le nombre d'articles de recherche revus par les pairs et de citations où les auteurs indiquaient un département d'ophtalmologie (ou des affiliations à une université ou un hôpital) de 2001 à 2010 dans les dix principaux journaux d'ophtalmologie ou des sciences de la vision de même que dans le Journal canadien d'ophtalmologie. Le financement fédéral de la recherche, venant des Instituts canadiens de la recherche en santé et l'Institut oculaire national, a aussi été obtenu.RésultatsLes trois universités qui produisirent le plus grand nombre d'articles étaient l'Université de Toronto (UofT), l'Université McGill et l'Université de la Colombie-Britannique (UBC). L'UofT a aussi produit le plus grand nombre de citations, suivie de l'UBC et de l'Université Dalhousie. Pour le nombre de citations par article, les trois premières furent l'Université d'Ottawa, l'Université Dalhousie et l'Université de Calgary. L'Université McGill, l'Université de Montréal et l'UofT ont reçu les plus hauts financements fédéraux. Les trois universités canadiennes ayant reçu les plus faibles financements (coûts) par article furent l'UofT, l'UBC et l'Université McMaster. Les plus grands contributeurs du Journal canadien d'ophtalmologie de 2001 à 2010 furent l'UofT, l'Université d'Ottawa et l'Université McGill.ConclusionLes plus grands départements canadiens, qui ont tendance à générer les plus grand volume de recherche, ont reçu plus de financement fédéral, mais les départements plus petits ont aussi contribué de façon significative, et parfois surpassé les grands départements, quant à l'impact et au rapport coût-efficacité de la recherche. Comparativement aux É.-U., les six principaux départements américains ont généré un volume plus élevé de recherches et reçu plus de financement fédéral pour la recherche que leurs homologues canadiens. Toutefois, lors de l'examen de l'impact et du rapport coût-efficacité, les départements canadiens ont eu des rendements similaires à ceux des principaux départements des É.-U.