کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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4244628 | 1283409 | 2009 | 6 صفحه PDF | دانلود رایگان |

RésuméAfin de définir de manière consensuelle la politique de notre spécialité, un questionnaire appelé « imagerie hybride » a été adressé aux médecins nucléaires en activité en France, pour recueillir leurs avis sur l’impact de cette technique récente sur la formation, la pratique de la médecine nucléaire et leurs relations avec les autres spécialistes de l’imagerie médicale. Ce questionnaire, établi par le bureau de la Société française de médecine nucléaire et imagerie moléculaire (SFMN), était divisé en quatre chapitres : Profil et expérience en imagerie hybride, Relations avec les radiologues, Pratique des examens TDM sur les équipements hybrides et Avenir de la spécialité et de la formation en médecine nucléaire. Le taux de réponse a été de 60 %, soit 374 questionnaires complets. Globalement les réponses ont été homogènes quels que soient leur expérience, le mode et le lieu d’exercice. La participation régulière aux activités d’imagerie hybride est le fait de la majorité des répondeurs. En ce qui concerne les relations avec les radiologues, celles-ci existent dans plus de 85 % des cas et sont considérées alors comme étant de bonne qualité dans plus de 90 % des cas. La grande majorité des praticiens pense que l’imagerie hybride deviendra la norme. Les avis sur l’utilisation diagnostique de la TDM sont partagés, de même que sur leur interprétation par un radiologue, un médecin nucléaire ou les deux. Pour la grande majorité, les équipements hybrides doivent être gérés par les médecins nucléaires. En ce qui concerne l’avenir, la médecine nucléaire doit rester une spécialité indépendante avec une formation accrue en imagerie en coupes et une maquette d’internat passant à cinq ans.
To define the policy of our specialty with a consensus opinion, a questionnaire entitled “hybrid imaging” was sent to practicing nuclear medicine specialist physicians in France to obtain their opinion on the impact of this recent method in training and in the practice of nuclear medicine and on the relations between nuclear medicine specialists and other medical imaging specialists. This questionnaire, written by the office of the French Society of Nuclear Medicine (FSNM) and molecular imaging , was divided into four parts: Profile and experience in hybrid imaging, Relations with radiologists, Practice of CT scans with hybrid equipment, and the Future of the specialty and of training in nuclear medicine. The response rate was 60%, i.e. 374 completed questionnaires. Overall, the responses were uniform, whatever the respondent's experience, type and place of practice. Regular participation in hybrid imaging practice was the reply provided by the majority of respondents. In terms of relations with radiologists, such contacts existed in over 85% of cases and are considered as being of high quality in over 90% of cases. The vast majority of practitioners believe that hybrid imaging will become the standard. Opinions on the diagnostic use of CT scans are divided, as well as their interpretation by a radiologist, a nuclear medicine specialist or by both. In the opinion of the vast majority, hybrid equipment systems should be managed by nuclear medicine specialists. With regard to the future, nuclear medicine should remain an independent specialty with enhanced training in morphological imaging and a residency training program whose length should be increased to 5 years.
Journal: Médecine Nucléaire - Volume 33, Issue 2, February 2009, Pages 108–113