Professional and clinical differences amongst clinicians dealing with sexual problems in the United Kingdom

The varied practices of physicians, psychologists, nurses and therapists were recorded as part of a collaboration between seven European countries. This paper describes sexual and relationship problems presented by patients to UK clinicians working in the field of human sexuality. Differences in the professional groups and approaches towards treating these problems by physicians and non-physicians are reported and discussed. The majority of clinicians working in human sexuality within the United Kingdom are female non-physicians. Nurses and marital counsellors were the largest professional group within the multidisciplinary profession of sexology working in the United Kingdom. Fewer UK clinicians have undergone training in sexology that their European counterparts and only 46% of clinicians working in the field describe themselves as a sexologist or sex therapist. The vast majority of clinicians did not devote more than a quarter of their work time to sexual problems and sexual dysfunction.

RésuméDans le cadre d'une collaboration avec sept pays européens, on a étudié les pratiques professionnelles des médecins, psychologues, infirmières, et thérapeutes qui travaillent dans le domaine de la sexologie. Cet article décrit les problèmes sexuels et relationnels qui constituent les principaux motifs de consultation proposés aux cliniciens travaillant dans le domaine de la sexualité humaine. Les différences d'approches thérapeutiques et de traitement de ces problèmes entre les médecins, et les non-médecins sont mises en évidence et discutées. Au Royaume-Uni La majorité des praticiens travaillant dans le domaine de la sexualité humaine sont des femmes non-médecins. Les infirmières et les conseillers conjugaux constituent le groupe professionnel le plus important de la profession multidisciplinaire qu'est la sexologie au Royaume-Uni. Au Royaume-Uni une proportion inférieure de praticiens a suivi une formation en sexologie par rapport à leurs homologues européens, et seulement 46 % des praticiens travaillant dans ce domaine se décrivent comme sexologues ou sexothérapeutes. La grande majorité des praticiens ne consacrent pas plus d'un quart de leur temps de travail aux problèmes sexuels et aux dysfonctions sexuelles.