کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
---|---|---|---|---|
2722215 | 1566570 | 2009 | 7 صفحه PDF | دانلود رایگان |

BackgroundA less than 10% decline in blood pressure during the night is known as a nondipping blood pressure (BP) pattern. Nondipping BP has been shown to be associated with target organ damage and poorer cardiovascular outcomes. Additionally, some evidence suggests that hypertensive nondipping women are at greater risk for target organ damage than hypertensive nondipping men.ObjectiveTo determine whether stress, demographics, menopausal status or sleep quality are associated with nondipping BP among hypertensive women.MethodsA cross-sectional study design was used to describe the relationship between stress and dipping status among a sample of hypertensive women and to describe the sample by age, ethnicity, marital status, menopausal status, current medications and sleep quality.ResultsThe study sample consisted of 47 women (mean [ ± SD] age 57 ± 13.9 years) with essential or office hypertension who underwent 24 h ambulatory BP monitoring, and completed stress and sleep quality measurements. Thirty-one women (66%) were classified as dippers and 16 (34%) were classified as nondippers. Nondippers were older (P = 0.04), postmenopausal (P = 0.003) and had lower stress scores (P = 0.02) than their dipper counterparts. Postmenopausal status significantly predicted nondipping (OR 16; 95% CI 1.9 to 136.4).ConclusionThese findings were of interest given that some women had a nondipping BP pattern and significantly lower stress scores. It is possible that there are fundamentally different physiological mechanisms that explain this nondipping phenomenon. In the future, the identification of specific hemodynamic mechanisms associated with nondipping could potentially influence the choice of antihypertensive treatment regimens for nondipper hypertensive patients.
HistoriqueLa diminution nocturne de la tension artérielle inférieure à 10 % est désignée absence de baisse nocturne de la tension artérielle (TA). Cette absence de baisse nocturne de la TA s’associe à une atteinte des organes cibles et à des issues cardiovasculaires plus négatives. De plus, selon certaines données probantes, les femmes hypertendues sans baisse nocturne de la TA sont plus vulnérables à une atteinte des organes cibles que les hommes dans la même situation.ObjectifDéterminer si le stress, la démographie, l’état ménopausique ou la qualité du sommeil s’associent à une absence de baisse nocturne de la TA chez les femmes hypertendues.MéthodologieUne étude transversale a permis de décrire la relation entre le stress et la baisse nocturne de la TA au sein d’un échantillon de femmes hypertendues et de décrire cet échantillon selon l’âge, l’ethnie, la situation familiale, l’état ménopausique, la prise courante de médicaments et la qualité du sommeil.RésultatsL’échantillon à l’étude se composait de 47 femmes (âge moyen [ ± ÉT] de 57 ± 13,9 ans) présentant une hypertension essentielle ou en cabinet et ayant subi une surveillance ambulatoire de la TA pendant 24 heures ainsi que des mesures du stress et de la qualité du sommeil. Trente et une femmes (66%) étaient classées comme ayant une baisse nocturne et 16 (34%) comme n’en ayant pas. Celles-ci étaient plus âgées (P = 0,04), postménopausées (P = 0,003) et présentaient un indice de stress (P = 0,02) inférieur à celui de leurs camarades présentant une baisse nocturne de la TA. L’état postménopausique avait une valeur prédictive significative d’absence de baisse nocturne de la TA (RRR 16; 95% IC 1,9 à 136,4).ConclusionCes constatations étaient intéressantes puisque certaines femmes présentaient une absence de baisse nocturne de la TA et des indices de stress beaucoup plus faibles. Il est possible que des mécanismes physiologiques fondamentalement différents expliquent ce phénomène. À l’avenir, le dépistage de mécanismes hémodynamiques précis associés à l’absence de baisse nocturne de la TA pourrait influer sur le schéma posologique d’antihypertenseurs sélectionnés pour les patientes hypertendues ne présentant pas de baisse nocturne de la TA.
Journal: Canadian Journal of Cardiology - Volume 25, Issue 6, June 2009, Pages e157-e163