کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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2727435 | 1566536 | 2012 | 7 صفحه PDF | دانلود رایگان |

BackgroundNumerous studies have reported associations between air pollution and cardiovascular diseases. While several studies illustrate that exposures to air pollutants can elevate blood pressure, few have evaluated the clinical relevance of this relationship. Hence, we aimed to explore the associations between daily concentrations of several air pollutants and emergency department visits for hypertension.MethodsOdds ratios (ORs) for emergency department visits for hypertension in Edmonton, Canada, from April 1992 to March 2002 were associated with pollutant levels (CO, NO2, SO2, O3, and particulate matter [PM] < 10 microns [PM10] and < 2.5 microns [PM2.5] in aerodynamic diameter, respectively) by means of a case-crossover technique with time-stratified strategy to define controls. The analysis was performed for all (N = 5365), male (N = 2069), and female (N = 3296) patients and for six air pollutants lagged by 0 to 9 days. ORs and their 95% confidence intervals (CIs) were reported for an increase in an interquartile range (IQR) for each pollutant.ResultsWe observed associations for all patients and levels of NO2 (IQR = 12.8 parts per billion; OR, 1.06; 95% CI, 1.00-1.12), SO2 (IQR = 2.3 parts per billion; OR, 1.04; 95% CI, 1.00-1.08), and PM10 (IQR = 15.0 μg/m3; OR, 1.06; 95% CI, 1.01-1.11) for lag day 3, as well as for PM10 (IQR = 15.0 μg/m3; OR, 1.06; 95% CI, 1.01-1.11) and PM2.5 (IQR = 6.2 μg/m3; OR, 1.07; 95% CI, 1.01-1.11) for lag day 6.ConclusionsThese findings support the contention that ambient pollution can produce clinically meaningful increases in blood pressure.
RésuméIntroductionDe nombreuses études ont rapporté des liens entre la pollution de l'air et les maladies cardiovasculaires. Tandis que plusieurs études illustrent que les expositions aux polluants de l'air peuvent élever la pression artérielle, quelques-unes ont évalué la pertinence clinique de ce lien. Par conséquent, notre but était d'explorer les liens entre les concentrations quotidiennes de plusieurs polluants de l'air et les visites au service des urgences pour l'hypertension.MéthodesLes risques relatifs approchés (RRA) pour les visites au service des urgences pour l'hypertension à Edmonton, au Canada, d'avril 1992 à mars 2002, a été associés au niveau des polluants (CO, NO2, SO2, O3 et aux particules [P] < 10 microns [P10] et < 2,5 microns [P2,5] dans un diamètre aérodynamique, respectivement) au moyen d'une technique en chassé-croisé avec une stratégie stratifiée dans le temps pour définir les témoins. L'analyse a été faite pour tous les patients (N = 5 365), hommes (N = 2 069) et femmes (N = 3 296) et pour six polluants d'air sur un décalage de 0 à 9 jours. Les RRA et leurs intervalles de confiance (IC) de 95 % a été rapportés pour une augmentation dans un écart interquartile (ÉI) pour chaque polluant.RésultatsNous avons observé des liens chez tous les patients et les niveaux de NO2 (ÉI = 12,8 parties par milliard; RRA, 1,06; IC de 95 %, 1,00-1,12), SO2 (ÉI = 2,3 parties par milliard; RRA, 1,04; IC de 95 %, 1,00-1,08), et P10 (ÉI = 15,0 μg/m3; RRA, 1,06; IC de 95 %, 1,01-1,11) pour un décalage de 3 jours, aussi bien que P10 (ÉI = 15,0 μg/m3; RRA, 1,06; IC de 95 %, 1,01-1,11) et P2,5 (ÉI = 6,2 μg/m3; RRA, 1,07; IC de 95 %, 1,01-1,11) pour un décalage de 6 jours.ConclusionsCes découvertes soutiennent l'affirmation que la pollution ambiante peut produire des augmentations cliniquement significatives de la pression artérielle.
Journal: Canadian Journal of Cardiology - Volume 28, Issue 3, May–June 2012, Pages 360–366