کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
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2731861 | 1566500 | 2015 | 6 صفحه PDF | دانلود رایگان |
BackgroundRotational atherectomy (RA) performed during percutaneous coronary intervention is commonly associated with distal embolization of calcific particles resulting in conduction abnormalities. As a result, temporary pacing is often used during these procedures. It is unknown whether temporary pacing should be routinely used.MethodsWe performed an analysis of 134 consecutive patients who underwent RA at our institution between January 2011 and September 2013 for the presence of intraprocedural heart block or pacemaker activation.ResultsA temporary pacemaker was inserted in 50% of cases. Forty-two (31%) patients experienced either heart block (n = 16) or pacemaker activation (n = 26). There was no difference in baseline characteristics between those who experienced heart block or required temporary pacing, and those who did not. Interventional characteristics including burr size, maximum rotations per minute used, and maximum run duration were also similar among the groups. Only target RA vessel was associated with the presence of heart block or temporary pacing in multivariate analysis (P < 0.0001). Heart block or temporary pacing occurred in 28 (53%) of RA to the right coronary artery, 2 (5%) of the left anterior descending artery, 8 (62%) of the left-dominant circumflex artery, and 2 (18%) with RA to the circumflex artery with right-dominant circulation. Asystole occurred only in patients who underwent RA to the right coronary artery.ConclusionsHeart block or temporary pacing was more commonly associated with right coronary artery and left-dominant circumflex lesions. Prophylactic pacemaker insertion might be avoided with RA to other vessels.
RésuméIntroductionL’athérectomie rotationnelle (AR) réalisée pendant une intervention coronaire percutanée est souvent associée à l'embolisation distale de particules calcifiées entraînant des anomalies de la conduction. Par conséquent, la stimulation temporaire est souvent utilisée au cours de ces procédures. On ignore si la stimulation temporaire doit systématiquement être utilisée.MéthodesNous avons effectué une analyse de 134 patients consécutifs qui ont subi une AR dans notre établissement entre janvier 2011 et septembre 2013 pour la présence de bloc atrioventriculaire (AV) intraprocedural ou pour l'activation d'un cardiostimulateur.RésultatsUn cardiostimulateur temporaire a été installé dans 50 % des cas. Quarante-deux (31 %) patients ont expérimenté soit un bloc AV (n = 16) soit l’activation d'un cardiostimulateur (n = 26). Il n'y avait aucune différence dans les paramètres de base entre ceux qui ont vécu un bloc AV ou une cardiostimulation temporaire, et ceux qui n’en ont pas eu. Les caractéristiques d'intervention, notamment la taille de bavure, le maximum de rotations par minute utilisé, et la durée maximale d'intervention étaient également similaires entre les groupes. Seule la nature du vaisseau cible de l’AR a été associée à la présence d'un bloc AV ou d’une cardiostimulation temporaire en analyse multivariée (P <0,0001). Le bloc AV ou la cardiostimulation temporaire s’est produit pendant 28 (53 %) des AR de l'artère coronaire droite, 2 (5 %) de l'artère interventriculaire antérieure gauche, 8 (62 %) de l'artère circonflexe gauche dominante, et deux (18 % ) avec AR au niveau de l'artère circonflexe avec circulation droite dominante. L’asystolie s’est produite seulement chez les patients qui ont subi une AR de l'artère coronaire droite.ConclusionsLe bloc AV ou la cardiostimulation temporaire ont été plus couramment associés aux lésions de l'artère coronaire droite et de l’artère circonflexe gauche dominante. L'installation prophylactique d'un cardiostimulateur pourrait être évitée pour l’AR des autres vaisseaux.
Journal: Canadian Journal of Cardiology - Volume 31, Issue 3, March 2015, Pages 335–340