کد مقاله | کد نشریه | سال انتشار | مقاله انگلیسی | نسخه تمام متن |
---|---|---|---|---|
2732012 | 1566525 | 2013 | 10 صفحه PDF | دانلود رایگان |

The term “silent” atrial fibrillation (AF) has recently re-emerged to describe atrial arrhythmias that are detected by implanted cardiac devices but would generally go undetected in the clinical setting. The precise role that silent AF plays in increasing the risk of ischemic stroke is not fully understood. The purpose of this article is to: (1) review the current evidence demonstrating that silent AF is associated with thromboembolic events; (2) describe the temporal proximity of silent AF episodes to thromboembolic events; (3) present data on the incidence of newly detected silent AF in patients without a previous history of AF; and (4) provide an overview of ongoing and new clinical studies on this important topic. The current evidence suggests that the prevalence of silent AF is considerable among patients with implanted devices, and that the presence of silent AF increases the risk of thromboembolism. The AF burden threshold which confers this increased thromboembolism risk is not precisely defined, but might be as brief as several minutes to several hours. The advent of novel oral anticoagulation medications, which offer the promise of improved efficacy along with superior safety profiles, might warrant more aggressive identification of patients who might benefit from these therapies. However, to find high risk patients who have brief episodes of silent AF will likely require new methods of monitoring to permit the detection of this elusive but potentially dangerous arrhythmia.
RésuméLe terme « silencieuse » qualifiant la fibrillation auriculaire (FA) a récemment refait surface pour décrire les arythmies auriculaires qui sont détectées par les dispositifs cardiaques implantables, mais qui, dans le cadre clinique, pourraient généralement passer inaperçues. Le rôle précis que joue la FA silencieuse dans l’augmentation du risque d’accident vasculaire cérébral ischemique n’est pas complètement compris. Le but de cet article est de : 1) passer en revue les données scientifiques actuelles démontrant que la FA silencieuse est associée aux événements thromboemboliques; 2) décrire la proximité temporelle des épisodes de FA silencieuse par rapport aux événements thromboemboliques; 3) présenter les données sur l’incidence de FA silencieuse récemment détectée chez les patients n’ayant pas d’antécédents de FA; 4) donner un aperçu des études cliniques en cours et nouvelles relatives à cet important sujet. Les données scientifiques actuelles suggèrent que la prévalence de FA silencieuse est considérable chez les patients ayant des dispositifs implantables et que la présence de FA silencieuse augmente le risque thromboembolique. Le seuil du fardeau de la FA qui confère cette augmentation du risque thromboembolique n’est pas précisément défini, mais pourrait être aussi bref que de plusieurs minutes à plusieurs heures. L’avènement de nouveaux anticoagulants oraux, qui offrent comme perspective l’amélioration de l’efficacité et des marges d’innocuité supérieures, pourrait justifier une identification plus vigoureuse des patients pouvant bénéficier de ces traitements. Cependant, l’identification des patients exposés à un risque élevé ayant des épisodes brefs de FA silencieuse exigera probablement de nouvelles méthodes de surveillance pour permettre la détection de cette arythmie difficilement détectable, mais potentiellement dangereuse.
Journal: Canadian Journal of Cardiology - Volume 29, Issue 7, Supplement, July 2013, Pages S14–S23