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Angiographic and clinical outcomes of bivalirudin versus heparin in patients with acute coronary syndrome undergoing percutaneous coronary intervention
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علوم پزشکی و سلامت پزشکی و دندانپزشکی کاردیولوژی و پزشکی قلب و عروق
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Angiographic and clinical outcomes of bivalirudin versus heparin in patients with acute coronary syndrome undergoing percutaneous coronary intervention
چکیده انگلیسی

BackgroundHeparin with adjunctive glycoprotein IIb/IIIa platelet receptor (GP IIb/IIIa) inhibitors has demonstrated its effectiveness in patients with acute coronary syndrome (ACS) undergoing percutaneous coronary intervention (PCI). Bivalirudin, a direct thrombin inhibitor, has recently been shown to be an effective alternative for patients undergoing elective PCI.ObjectivesTo assess the angiographic and clinical outcomes of adjunctive pharmacological strategies in a high-risk population presenting with ACS.MethodsOf 891 consecutive PCI patients with ACS, 304 received bivalirudin (60.5% male, 68 ± 11 years) and were compared with 283 who received heparin (58.7% male, 66 ± 12 years). A 30-day major adverse cardiac event was defined as the occurrence of cardiac death, nonfatal myocardial infarction, urgent revascularization or major hemorrhage.ResultsAdjunctive GP IIb/IIIa inhibitors were used in 14.1% of the bivalirudin group and in 72.4% of the heparin group (P < 0.010). The occurrence of Thrombolysis In Myocardial Infarction (TIMI) flow less than grade 3 was lower and the achievement of angiographic success was higher in the bivalirudin group than in the heparin group (5.2% versus 8.2%, 94.7% versus 89.7%, P = 0.039 and P < 0.010, respectively). There was no difference between groups in the incidence of bleeding events (bivalirudin 2.0% versus heparin 3.5%, P not significant) and in 30-day major adverse cardiac events (bivalirudin 8.3% versus heparin 5.7%, P = 0.223).ConclusionsIn the high-risk cohort undergoing PCI, bivalirudin with provisional GP IIb/IIIa inhibitors achieved better angiographic results. Although not powered to show a difference, and while acknowledging that a selection bias could have affected the data, the present study showed that bivalirudin may be as clinically effective and safe as heparin with adjunctive GP IIb/IIIa inhibitors.

HistoriqueL’héparine administrée avec des inhibiteurs de la GP IIb/IIIa (inhibiteurs plaquettaires des récepteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa) en traitement d’appoint, a prouvé son efficacité chez les patients qui présentent un syndrome coronarien aigu (SCA) et qui doivent subir une intervention coronarienne percutanée (ICP). La bivalirudine, un inhibiteur direct de la thrombine, s’est récemment révélée être une solution de rechange efficace pour les patients qui doivent subir une ICP élective.ObjectifÉvaluer les résultats angiographiques et cliniques des stratégies pharmacologiques d’appoint chez une population à risque élevé présentant un SCA.MéthodesParmi les 891 patients consécutifs devant subir une ICP pour SCA, 304 ont reçu de la bivalirudine (60,5% de sexe masculin, âgés de 68 ± 11 ans) et ont été comparés à 283 patients qui ont reçu de l’héparine (58,7% de sexe masculin, âgés de 66 ± 12 ans). L’incident cardiaque majeur à 30 jours était défini comme suit : mort d’origine cardiaque, infarctus du myocarde non fatal, intervention urgente de revascularisation ou hémorragie majeure.RésultatsDes inhibiteurs de la GP IIb/IIIa en traitement d’appoint ont été utilisés chez 14,1% des sujets du groupe sous bivalirudine et chez 72,4% du groupe sous héparine (p < 0,010). La survenue de thrombolyse durant l’infarctus du myocarde (TIMI) de grade inférieur à 3 a été plus faible et la réussite angiographique a été plus forte dans le groupe sous bivalirudine que dans le groupe sous héparine (5,2%, contre 8,2% et 94,7%, contre 89,7%, p = 0,039 et p < 0,010, respectivement). On n’a noté aucune différence entre les groupes quant à l’incidence des épisodes hémorragiques (bivalirudine 2,0% versus héparine 3,5%, p non significatif) et quant aux incidents cardiaques majeurs à 30 jours (bivalirudine 8,3% versus héparine 5,7%, p = 0,223).ConclusionDans la cohorte à risque élevé devant subir une ICP, la bivalirudine avec inhibiteurs de la GP IIb/IIIa administrés provisoirement a donné lieu à de meilleurs résultats angiographiques. Bien qu’elle n’ait pas été dotée d’une puissance statistique suffisante pour montrer une différence et que les données aient pu subir l’effet d’un biais de sélection, cette étude a montré que, sur le plan clinique, la bivalirudine pourrait être aussi efficace et sécuritaire que l’héparine avec inhibiteurs de la GP IIb/IIIa à titre de traitement d’appoint.

ناشر
Database: Elsevier - ScienceDirect (ساینس دایرکت)
Journal: Canadian Journal of Cardiology - Volume 22, Issue 13, November 2006, Pages 1139-1145